Kendji Girac profite des siens
Kendji Girac connaît un énorme succès depuis sa victoire de The Voice en 2014. Cependant, une chose est plus importante que tout ça dans sa vie : sa famille. D’ailleurs, s’il a bien vécu le confinement, c’est parce qu’il était avec ses parents, ses soeurs et son neveu. Il avait déclaré : « J’ai bien vécu cette période, je n’ai vraiment pas à me plaindre. Nous avons une maison avec un jardin… Et toujours la caravane dans laquelle je dormais le soir… Comme toujours ». Une période bénéfique notamment car il a pu se rapprocher de son père :« Ça m’a fait énormément de bien de passer du temps avec mon père, nous avons eu de longues discussions, encore plus que d’habitude. »
Celui qui a eu peur pour sa grand-mère confiné dans un ehpad, n’a surtout pas pris la grosse tête depuis qu’il est devenu célèbre. Pourtant il pourrait se le mettre lui qui a vendu des millions de disques. Mais le luxe, cela ne l’intéresse pas. L’artiste préfère aux paillettes, la chaleur de sa grande maison en banlieue parisienne. Il s’est d’ailleurs confié à ce sujet auprès de nos confrères du Parisien, qu’il a reçus chez lui.
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Kendji Girac vit toujours dans sa caravane
« C’est la première fois que j’autorise des journalistes à y entrer », souligne alors Kendji Girac. Celui qui a été agressé par des hommes armés en pleine nuit vit avec son clan loin du succès. Les journalistes ont pu découvrir les dizaines de caravanes garées dans le jardin. « Peu de gens imaginent que je vis encore comme ça mais c’est mon équilibre », confie celui qui dort encore dans sa caravane « selon ses envies… et la météo ».
En effet, le chanteur a expliqué : « Parfois je dors dans la maison, parfois dans la caravane. C’est un refuge dans lequel je me sens bien, et j’adore y entendre le bruit de la pluie qui me berce. C’est une chance d’avoir les deux. Et oui, je vis toujours comme un gitan. » Kendji Girac avait pourtant tenté de vivre dans un bel appartement, mais cela ne lui a pas plu : « Il y a quelques années, j’en ai loué un pendant un mois et demi, rue de la Boétie. Je le payais 4.000 ou 5.000 euros par mois. J’y suis resté une semaine et je suis rentré ici. Il n’y a rien à faire, je n’y arrive pas. Ça m’a agacé, je me sentais seul, abandonné. Malgré les allers-retours qui me prennent du temps, c’est ici que je me sens le mieux.«
Et vous, qu’en pensez-vous ?