Anaïs Camizuli : harcelée par une détraquée depuis sa sortie de Secret Story, elle s’explique

Anaïs Camizuli raconte le calvaire qu’elle a vécu

Jeremstar s’est rendu chez Anaïs Camizuli pour une interview un peu spéciale. Et pour cause, la candidate – qui a démenti les rumeurs de couple -s’est confiée sur cette femme qui la harcèle depuis sept ans et qui a menacé de kidnapper sa fille. « Je vis constamment dans la peur parce que j’ai ma fille qui a 19 mois et j’essaye de ne pas lui refiler ma peur et mon stress mais ça reste compliqué parce que j’y pense constamment« , a-t-elle confié. « Cela a commencé le 13 septembre 2013, à ma sortie de Secret Story. Elle voulait absolument une photo avec moi. (…) Et puis un jour, je suis en Belgique. Elle tape sur mon épaule et me dit : ‘Coucou, je suis venue te voir’. Cela me paraît fou mais d’accord. »

Avant de poursuivre : « Je l’ajoute sur Insta et je vois qu’elle publie une photo de la résidence où j’habitais à l’époque. Elle note en légende : ‘Ma nouvelle résidence’. Elle m’envoie : ‘T’as vu, on est voisine’. En fait  elle avait juste trouvé où je vivais. Mais c’était faux, elle n’a jamais habité ma résidence. Je la croisais dans le garage, devant la résidence, puisqu’elle me suivait. (..) Elle était partout où j’étais. » Cette personne ira encore plus loin en usurpant son identité : « On s’est rendu compte qu’elle avait récupéré une puce dans une boutique de téléphone mobile. Elle écrivait à ma place, elle a envoyé des messages à ma famille, à la production des Anges à l’époque. Donc là, j’ai décidé de porter plainte« .

Anaïs Camizuli raconte l’histoire de cette femme qui l’a harcelée

Les policiers débarquent alors chez La femme de 37 ans : ils l’arrêtent et découvrent chez elle une boîte dédiée à Anaïs Camizuli avec des photos d’elle quand elle était petite. « Elle s’est un peu calmée après la plainte. Je deviens maman et en mars 2020, pendant le premier confinement, elle m’identifie sur sa story en me disant que c’est urgent, qu’il faut que je la contacte. ‘Je t’écris parce que j’ai des photos de ta fille’. Elle me dit : ‘Des photos de la crèche' ». Elle fait comprendre à Anaïs de quoi elle est capable. Pire encore, elle postule pour y travailler. À présent, des photos de son visages sont affichées partout dans l’enceinte de l’établissement.

Anaïs a confié à Jeremstar : « Donc ça a été très compliqué pour moi dans les deux premiers mois où elle menaçait d’enlever ma fille. Je n’avais pas forcément envie de la laisser à la crèche mais je me disais que je ne pouvais pas l’empêcher de vivre comme un enfant. (…) Je deviens parano, je me fais de films, je fais des cauchemars. Pendant un moment, quand je déposais ma fille à la crèche, j’attendais devant la crèche, je restais une heure dans ma voiture. Mon ex-mari a subi aussi, ça a été très difficile pour lui. Parfois je lui interdisais de sortir, je lui disais de ne pas me laisser seule à la maison… »

Et vous, qu’est-ce que vous en pensez ?