Un retour du port du masque obligatoire
Et c’est dans 24 départements que le port du masque est désormais redevenu obligatoire. Après avoir annoncé l’interruption du travail et du salaire pour certains employés non vaccinés, l’État a annoncé il y a peu le retour du port obligatoire du masque dans les lieux publics. Rappelez-vous ! Ce 25 juillet, le Parlement a voté la loi obligeant tous les employés dans des secteurs recevant du public à se faire vacciner. Nous parlons ici notamment des employés de bars, restaurants, cinémas, salles de sport, centres commerciaux…etc. Ces derniers devront obligatoirement fournir une preuve de vaccination, ou un test négatif afin de pouvoir travailler.
Et si beaucoup craignaient des licenciements, il n’en est rien ! Cependant, une longue absence du travail dû à un non respect de la loi pourrait pousser les employeurs à se séparer de certains de leurs employés si leur absence posait problème. En ce qui concerne le port du masque désormais obligatoire dans les lieux publics, il concerne plus de 24 départements aujourd’hui, dont bien évidemment la Charente-Maritime, qui est aujourd’hui l’un des départements les plus touchés par la crise du Covid-19. Le port du masque y est désormais obligatoire dans toutes ses communes.
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L’importance de porter le masque malgré le vaccin
Et s’il est important de toujours porter un masque malgré que l’on soit vacciné, c’est pour une raison bien précise. Protéger les autres ! En effet, il faut rappeler que pour l’instant, l’héxagone n’a toujours pas atteint l’immunité générale, et afin de ne pas contaminer ceux qui ne sont pas encore vaccinés, il est important de toujours porter son masque.
Selon le médecin Damien Mascret, invité de France 2 ce mardi 27 Juillet, ce n’est « pas tant pour se protéger soi, mais pour protéger les autres » que l’obligation du port du masque est bénéfique. Car aujourd’hui, il est important de penser à ceux qui ne peuvent pas ou ne veulent pas se faire vacciner. Il pense ainsi « aux enfants bien sûr, qui ne sont généralement pas vaccinés, car les plus petits ne peuvent pas l’être pour l’instant, mais aussi aux personnes immunodéprimées, soit à cause d’un traitement, soit d’une maladie. »
