Aurélie Dotremont : accro à la drogue pendant des années, elle s’exprime

Aurélie Dotremont se livre sur son combat

Il faut croire que la drogue n’a pas été le seul pallier que la belle Aurélie Dotremont a dû dépasser. En effet, il y a peu, celle qui s’en prenait aux influenceuses s’est livrée sur son combat avec la boulimie. Face caméra, elle prenait la parole et se dévoilait à ses abonnés.

« En ce moment je ne suis pas présente, je vous montre les bons plans et entre ça je dors. Je suis épuisée, ma maladie m’épuise pour tout vous dire, je suis à nouveau à 7 crises par jour, mon oesophage me brûle et la fatigue est trop intense. J’ai arrêté d’aller voir ma thérapeute car je n’ai pas envie de lui faire perdre du temps. Sans vous mentir sur le coup du « tu pars plus en tournage » m’a mis un coup. C’est tout c*n mais le moindre échec, la moindre déception, en gros la moindre émotion me refout dans cette maladie. » Déclarait-elle tout d’abord.

Avant de confier : « Cela fait 12 ou 14 ans que je suis dans cette situation. Hier pour ne rien vous cacher pour la première fois j’ai vomi du sang… Il y a une semaine j’ai failli m’étouffer. À 30 ans j’ai pris rendez-vous à l’hôpital pour faire des radios de l’oesophage. J’ai rendez-vous le 8 Décembre et j’aurais les résultats 10 jours après. Au bout de 14 ans de souffrance je pense que mon oesophage va me le faire payer. Je regrette d’avoir commencé un jour parce que j’avais trop mangé. Je l’ai cherché et c’est trop tard. »

Aurélie Dotremont se livre concernant son passé avec la drogue

Durant une session de questions/réponses sur son compte Instagram, Aurélie Dotremont a répondu à une question très délicate posée par l’un de ses internautes. Ce dernier questionnait la belle sur son passé avec la drogue, et Aurélie a très vite répondu.

Sans langue de bois, la jeune femme assume tout, et n’a pas de honte à se livrer à ce propos. « Pendant des années, et je n’en suis pas fière … On pense toujours essayer juste une fois. Puis c’est uniquement festif, et puis on fait la fête tous les jours… Très contente de m’en être sortie. » Écrivait-elle. Voilà qui a au moins le mérite d’être clair ! Nous souhaitons à la belle bonne continuation dans son combat.