Vaimalama Chaves : vict*me d’une agression
Ce 25 septembre, alors qu’elle marchait dans les rues de Paris, Vaimalama Chaves (qui a montré sa cellulite) a été agressée par un groupe de jeunes. Très vite, elle a décidé de tout balancer sur la toile. « Chères femmes, aujourd’hui je suis en colère, je suis en colère parce que j’ai été agressée » a-t-elle confié.
Avant de poursuivre : « J’ai été attaquée par une bande de moins de 18 ans, donc pas condamnables, mais ce n’est pas normal. Pourquoi devrions-nous nous taire ? Je suis déçue de ne pas savoir quoi faire. (…) Pour commencer, ils m’ont jeté des cailloux dessus. « Pour rigoler ». Quand j’ai confronté celui qui l’a fait, ils se sont regroupés autour de moi. Une quinzaine de jeunes gars qui n’ont aucunes valeurs, dont les parents semblent dépassés, dont les valeurs sont inexistantes. Une quinzaine de gars à qui j’aurais refait le portrait si je savais comment faire. »
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Vaimalama Chaves raconte son agression
Vaimalama – jugée « grosse » – n’a pas hésité à diffuser une courte vidéo sur laquelle on voit ses agresseurs. La plupart cachent leurs visages puis se permettent à courir pour ne pas se faire filmer. Après cette épisode, elle a pu constater qu’on ne prenait pas cela au sérieux : une heure après son appel, aucun agent n’était sur place. Au téléphone, la jeune femme a entendu un « ça va elle n’a reçu que des cailloux ». Celle qui folle amoureuse de son chéri a ré-affirmé que non, ce n’était pas « que ça » : « Ils ont essayé de voler mon téléphone, ils se sont amusés à m’en jeter davantage lorsque je partais. Ils m’ont entourée lorsque j’essayais d’appeler le 17. Je dis non ! ».
A bout, la candidate de DALS a ajouté : « La Polynésie m’a appris la douceur et la gentillesse, mais ici, tous mes acquis n’ont pas leur place, à Paris. Le respect n’existe pas. La tolérance non plus. N’attendez pas de recevoir un coup pour en donner un. Dès lors que vous vous sentez en danger répliquez. (…) Ce n’est pas normal d’avoir à laisser passer ça. Et c’est parce qu’on laisse passer qu’ils continuent ». Vaimalama Chaves. Quelques heures plus tard, elle a confié avoir enfin pu porter plainte. Donnant par ailleurs un conseil : filmer et prendre des photos afin de constituer des preuves pour la pol*ce.
On espère que tout va mieux !