Anaïs Camizuli, v*ctime d’une grave infection ?
Cela fait déjà plusieurs mois que le sujet des infections dues à un produit injecté dans les f*esses fait rage. En effet, après Luna Skye et Émilie Amar, c’est au tour d’Anaïs Camizuli de faire les frais de ces injections. Rappelez-vous ! Luna Skye avait été la première à en parler après avoir été hospitalisée d’urgence à l’hôpital au États Unis. Par la suite, c’est Émilie Amar qui s’est confiée sur son expérience. « J’ai une grosses infection que j’ai contracté due à une bactérie qu’on soupçonne être un staphylocoque. C’est pour ça qu’elle résiste aux antibiotiques. Suite aux injections aux f*sses… On est quatre à être dans cet état. (…) Les antibiotiques ça va un temps, je fais 45 kilos. » Explique-t’elle.
Avant d’ajouter : « Je suis suivie à l’hopital de Toulon. (…) Le traitement a endommagé mon foie et j’ai une hépatite médicamenteuse. On n’a pas de solutions car la bactérie se loge surement à l’intérieur du produit. Et le produit mettra au moins deux ans à se résorber ». Puis de finir : « Les injections aux f*sses : à éviter vraiment. Ce n’est pas une bonne solution. (…) J’ai des troubles du comportement alimentaire et donc je fais yoyo avec mon poids. Cela m’a été proposé gratuitement et c’est pour ça que j’ai accepté… Mais je suis encore plus maigre qu’avant. Les hôpitaux sont complets et n’ont plus de place pour me recevoir ».
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Anaïs Camizuli, ses injections lui causent une infection
Très peu de temps après ces révélations, Aqababe a révélé qu’Anaïs Camizuli avait elle aussi été v*ictime d’une infection due à ces injections. Anaïs a alors dû se justifier et expliquer la situation. « Aqababe a bien mon dossier médical. Un personnel soignant de l’hôpital lui a envoyé et je trouve ça inadmissible d’ailleurs. On ne va pas en rester là. Tout ça parce qu’on est connus, je trouve ça dégoutant. Si j’avais un gros souci de santé et que je n’avais pas envie que ça se sache et je n’aurais pas le choix vu que je suis connue. Je dois parler de mes soucis personnels, qui me regardent et je ne suis pas obligée d’en parler »
Elle ajoute alors : « Je vais me justifier. En avril j’ai fait des injections de Hyacorp, cinq seringues dans chaque fesse. Tout s’est très bien passé. Il y a un antibiotique à prendre car il y a un risque infectieux. (…) Il s’avère que début octobre, j’ai eu de la fièvre et des frissons partout. (…) Je vais à l’hôpital et on me dit que j’ai une infection. J’ai pris des antibio et je suis restée sous perfusion pendant trois jours et je suis rentrée ».
La candidate lance des menaces !
Avant de conclure : « Là par précaution, ils décident de prélever un peu de produit pour l’envoyer au laboratoire et voir s’il y a un germe. Et il n’y a rien. J’ai pris des antibiotiques pendant deux jours et je suis rentrée. Mais on ne sait pas d’où ça vient. (…) Je ne peux pas parler de choses que je ne sais pas, que je ne connais pas. Ce n’est pas le même problème qu’Emilie et Luna. (…) On me dit que je mens et que je n’ai pas le Covid. Je dois me reposer donc laissez moi tranquille ».
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Mais Anaïs a décidé de ne pas en rester là. En effet, très vite après sa prise de parole, elle a annoncé avoir déjà retrouvé les traces de celles qui ont révélé l’information. Elle prend ainsi la parole, et les menaces de représailles. « Les recherches avancent, je suis contente. Vous n’êtes vraiment pas intelligentes les filles, vous êtes d’ailleurs de sacrées curieuses, et de sacrées vicieuses. (…) J’ai vos noms et prénoms, donc vous êtes connectées sur mon dossier, après ma sortie d’hôpital donc ce n’était pas du tout dans mon service. J’aimerais savoir d’ailleurs hein, de toute façon vous allez être interrogées mais pourquoi vous êtes allées sur mon dossier ? Pourquoi vous êtes aussi curieuses de savoir ce qui m’est arrivé ? Juste pour faire les chouettes, mais du coup vous allez avoir des problèmes. Et en plus vous êtes infirmières, toutes bien notées. C’est dommage d’en arriver là, mais vous m’avez bien cherchée, et je ne vais pas vous lâcher. »
Anaïs Camizuli souhaite se faire retirer ses injections
Mais si la jeune femme fait reparler d’elle, c’est parce qu’elle envisagerait de se faire retirer ses injections. Et c’est le blogueur Aqababe qui révèle une nouvelle fois l’info. « Anaïs Camizuli a pris la décision de se faire retirer dans les prochains jours l’acide qu’elle s’était injectée aux f*esses, suite à toutes les polémiques qui ont enflées sur les réseaux sociaux ! Elle avait été injectée dans un cabinet à Marseille par un chirurgien Marseillais. Et selon une de mes sources, son retrait d’acide sera effectué dans un hôpital. Elle a eu une vraie réaction, du coup elle décide de ne pas prendre plus de risques que ça. Oui c’est bien avec le même produit ! »
Durant une session de questions/réponses qui a suivi l’annonce, le blogueur dévoile qu’il n’en sait pas plus sur l’opération en question « Je ne suis pas chirurgien, je sais que c’est une opération qui ne dure pas longtemps, sous anesthésie générale. Pas d’hospitalisation par la suite normalement, et antibiotiques et retour à la maison. Je la laisserai vous en dire plus. Quand tou ira bien. » Il ajoutait en réponse à une autre question : « Je ne suis pas médecin et personne ne l’est, mais de Marseille à Paris les problèmes peuvent être les mêmes de partout dans le monde. Même des filles pas connues à Hong-Kong, à Milan ou à Manhattan. Dernière fois que j’en parle sans en savoir plus. »