Ophélie Meunier reçoit des men*ces de m*rt
Nous vous disions que un cauchemar hantait les nuits de la mère de Maëlys, Jennifer mais aussi que Cécile Bourgeon était définitivement condamnée pour la mort de sa fille Fiona. Cette fois, c’est un autre événement difficile qui fait la une des médias. Dimanche 23 janvier, l’émission de Zone Interdite consacrait un épisode à l’isl*m radic*l dans la ville de Roubaix. Ce qui a fait couler énormément d’encre sur les réseaux sociaux. Beaucoup ont alors dénoncé un reportage rempli de critiques et rac*ste. Cela a mené au pire : la journaliste, Ophélie Meunier, a reçu énormément de men*ces de m*rt. Elle s’est alors retrouvée sous protection policière.
Au micro d’Europe 1 le producteur de Zone interdite, Jean-Marie Tricaud, a déclaré : « Elle va bien ». Et de poursuivre : « Évidemment, c’est intolérable de se retrouver dans cette situation pour avoir fait son métier. Ophélie fait face, elle travaille. Elle est revenue au bureau. Mais, je ne vais pas vous raconter d’histoire, c’est une situation qui est très difficile à vivre. » Pour la première fois, c’est elle qui s’est exprimée à ce sujet.
Sur le même sujet
Ophélie Meunier s’exprime pour la première fois
Sur le plateau de Quotidien, Yann Barthès lui a demandé : « C’est la première fois que tu prends la parole depuis la diffusion du documentaire sur l’isl*m radic*l à Roubaix. Le parquet de Nanterre a ouvert une enquête à la suite de men*ces de m*rt qui te visaient. Comment ça va ? Comment tu as vécu tout ça ? ». Ophélie Meunier lui a répondu : « Ça va, ça va bien. Je m’exprime peu sur le sujet publiquement parce que c’est un sujet qui touche ma vie personnelle et ma famille, mais ça va, et j’ai le sourire aujourd’hui. »
Pour autant, Ophélie Meunier ne regrette absolument pas le choix du sujet car il était nécessaire selon elle : « C’est vrai que c’est un sujet sensible qui est souvent récupéré par l’extrême droite. Mais à deux mois de la présidentielle, c’est un sujet qui est dans l’actualité et qui mérite d’être soulevé ». La journaliste a ensuite ajouté : « Nous, journalistes, on ne doit pas être coincé entre l’extrême droite, qui s’approprie totalement le sujet, et des islamistes radicaux, qui nous empêchent carrément d’en parler. Nous, journalistes, notre boulot c’est de parler des sujets le plus factuellement possible. Sans idéologie, et c’est ce qu’on a fait. ». Par ailleurs, nous vous parlions de d’un candidat de Koh-Lanta qu’on a mis en examen pour homic*de inv*lontaire.