La JLC Family a failli arriver à son terme
Jazz et Laurent viennent de boucler une nouvelle saison de la JLC Family. Et celle-ci retrace leur parcours à Los Angeles, où ils se verraient bien habiter « On s’est dit qu’il était temps pour nous de prendre un nouveau départ. On voulait laisser les choses négatives derrière nous. (…) On a vu le changement de types de personnes qui ont rejoint Dubaï. (…) Je pense qu’on a bien fait notre travail d’influenceurs, car beaucoup sont arrivés. Il faut reconnaître que, quand on montre les belles choses, ça donne envie aux autres, c’est normal« . a expliqué Jazz.
Lors d’une interview accordée à Télé Stars, Jazz et Laurent se sont confiés sur cette nouvelle saison. « J’ai l’impression qu’avec les réseaux sociaux, on apprend des choses sur nous qui sont totalement fausses. Et puis, on a même plus honte d’exprimer nos émotions devant les équipes techniques. C’est un programme familial, ils ne sont pas nombreux. Ce sont devenus nos amis, limite. On les côtoie tellement souvent qu’il n’y a plus de tabous. On est nature peinture, même devant eux » a débuté Jazz -qui a admis avoir « vu des choses » concernant l’affaire de sorcellerie de Carla Moreau.
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Jazz et Laurent expliquent pourquoi ils ont failli tout arrêter
Mais tout cela a bien failli se terminer avant cette nouvelle saison. En effet, Jazz et Laurent qui sont sur le point d’agrandir leur famille, avaient intitulé celle-ci « La Fin ». « On voulait vraiment faire une réorganisation dans notre vie. À la base, on devait mettre de l’ordre et ne pas reprendre cette année. » a expliqué Jazz lors de cette même interview.
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« Quand on a dit qu’on allait déménager pour avoir un renouveau, on nous a proposé de le filmer. La production a accepté nos conditions, nous a laissés beaucoup plus de temps libre en ne filmant que ce qui peut intéresser le public. Je préfère laisser le public sur une bonne note que sur une mauvaise fin. » Et de son côté, Laurent confirme. « Il fallait que l’on repose des fondations à notre famille. Et puis, finalement, nous sommes revenus, par amour de notre métier et de notre public. »
