Une relation qui l’a marquée
Capucine Anav a beaucoup évolué depuis ses débuts à la télévision. Et récemment, elle a fait des révélations inattendues sur son salaire au Mad Mag. « J’ai quitté NRJ 12 quand ils ont changé le directeur des programmes. J’ai pas trop aimé l’arrivée d’Angela Lorente qui m’a un peu pris de haut. […] Son ingratitude auprès de moi, elle ne prenait pas le temps de me recevoir dans son bureau, elle n’avait pas de tact. C’était assez violent ». Mais surtout, elle a accepté de confier son salaire de l’époque : « J’étais à peu près à 5000 euros par mois. J’y étais tous les soirs. Et à 6000-7000 avec les revenus de la radio. C’est énorme pour venir une heure rigoler sans préparer d’émission ni rien. »
Parfois jugée en raison de son passé dans la télé-réalité, Capucine Anav peut compter sur le soutien de son chéri. « Il prend beaucoup de recul par rapport à ça, il me soutient dans mes décisions et dans ce que j’entreprends. Il souhaite simplement que sa discrétion soit respectée et que cette médiatisation ne soit pas excessive. C’est un homme merveilleux qui me fait confiance, me rassure et ne me juge pas », a confié à TV MAG celle qui a trouvé le prénom de son enfant.
Capucine Anav s’exprime sur le président de la République
Capucine Anav va se marier avec son chéri Victor ! Et elle a révélé qu’elle allait éviter un de ses célèbres ex à la cérémonie. Mais il y a une autre de ses relations qui fait beaucoup couler d’encre. Il s’agit de celle avec le fils de l’ancien président Louis Sarkozy. : « Quand je l’ai connue, je n’avais que seize ans, vous savez. Me retrouver dans une espèce d’exposition médiatique de cette nature, ce n’était ni voulu ni calculé. J’en ai subi les conséquences plus qu’autre chose. » a-t-elle confié au micro de Jordan Deluxe
Et lors de cette même interview, celle qui a été trompée par Kevin Adams a fait d’étonnantes confidences sur sa relation avec son président. « Il m’a posé énormément de questions sur la télé-réalité, il s’est vraiment intéressé. Il m’a demandé comment ça se passait, il m’a dit ‘wouaah, moi je pourrais pas’ Je me suis dit ‘mais wouaah’ donc quelque part, il m’a quand même sauvée parce que je me suis dit ‘si lui, Président de la République aussi cultivé et brillant que lui ne me juge pas, mais qui a le droit de me juger ?’ (…) C’est là où je me suis rendue compte que quelqu’un d’intelligent pour de vrai ne jugera jamais personne« .