La principale suspecte est en détention
Le vendredi 14 octobre, Lola, une collégienne de 12 ans, a disp*ru dans l’après-midi dans le 19ème arrondissement de Paris. Alors qu’elle devait rentrer de l’école, ses parents, gardiens de l’immeuble, se sont inquiétés de ne pas la voir arriver. Sur la vidéosurveillance, ils constatent alors qu’une femme d’une vingtaine d’années précède Lola dans le hall. Les parents ont alerté la pol*ce et les réseaux sociaux de l’enlèvement. C’est le soir-même, à 23h20, que le corps sans v*e de l’adolescente a été retrouvé. Il était dans une malle en plastique.
Immédiatement, une information judiciaire est ouverte pour « me**tre sur mineure de moins de 15 ans en lien avec un vi*l commis avec actes de tort*re et de barbarie », « vi*l sur mineur de 15 ans avec actes de tort*re et de barb*rie », et « recel de cad*vre. » Et dès le samedi matin, la principale suspecte dans cette affaire est arrêtée à Bois-Colombes, dans les Hauts-de-Seine. Celle-ci est âgée de 24 ans et aurait été aperçue en train de transporter la malle, le soir du meu*tre. Selon un passant, elle aurait même promis une récompense provenant d’un ‘trafic d’organe’ s’il voulait bien l’aider à déplacer la caisse.
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Quatre jours après le terrible meu*tre de Lola, l’enquête se poursuit. Mise en examen depuis lundi dans le cadre de l’information judiciaire ouverte, la principale suspecte donne des explications sur ce qu’il se serait passé le soir du drame. Selon le communiqué du procureur, elle « aurait entraîné la vict*me jusqu’à l’appartement de sa sœur, vivant dans le même immeuble que l’enfant. »
La jeune femme explique ce qu’elle a fait
Lors de sa quatrième audition, la jeune femme fait des confessions immondes : « Je l’ai attrapée par les cheveux, j’ai mis sa tête entre mes jambes […], j’ai eu un orga*me. » Puis, elle lui aurait scotché le visage ce qui a probablement entraîné la m*rt par asphyxie de Lola. Après quoi, la suspecte aurait pris le temps de boire un café et d’écouter de la musique avant de s’en prendre à nouveau à sa vi*time. Elle aurait alors lardé de coups de ciseaux le cou de la jeune fille, qui se serait pratiquement décroché du tronc. Elle affirme également avoir bu du sang de la vi*time qu’elle aurait récoltée dans une bouteille. Une description qui semble parfaitement correspondre aux constatations médico-légales.
Néanmoins, la présumée meurtrière revient régulièrement sur ses déclarations, affirmant avoir raconté un rêve et pas la réalité. Jurant même qu’elle n’aurait jamais pu tu*er une enfant. Mais lorsque les enquêteurs lui montrent des photos du corps de Lola, elle ne semble pas être plus perturbée que ça. « Ça ne me fait ni chaud ni froid. Moi aussi je me suis fait violer et j’ai vu mes parents mourir devant moi. » aurait-elle lâché.
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En tout cas, la suspecte devra bientôt se soumettre à des expertises psychologiques et psychiatriques. Ainsi, il sera déterminé si sa santé mentale lui permet d’être sanctionné pénalement. Néanmoins, la justice a estimé que son état lui permettait d’être en détention provisoire. La suspecte sera donc emprisonné jusqu’à son procès. Elle a été incarcérée à Fresnes.
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