Maddy Burciaga : sur le point d’accueillir un deuxième enfant ? Elle s’exprime

Maddy Burciaga : elle s’exprime sur les difficultés de son fils

Si Maddy Burciaga a eu une grossesse et un accouchement de rêve, on ne peut pas en dire autant des premiers mois de son fils. Souffrant de reflux, le petit garçon a vécu des moments très difficiles depuis sa naissance. Et bien évidemment, ses parents aussi.

Dans une vidéo Youtube, Maddy se confiait :« Honnêtement, je ne l’ai pas vraiment vu passer (le post-partum, ndlr) parce qu’avec les problèmes du petit, j’étais tellement concentrée là-dessus que je me suis clairement mis de côté. » 

Tandis que la petite famille sort enfin la tête de l’eau, les internautes se demandent si le petit deuxième est déjà prévu.

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Maddy Burciaga : bientôt un deuxième enfant ? Elle répond

Lors d’une session de question/réponse, Maddy Burciaga s’est laissé aller à quelques confidences. Parmi les nombreuses questions posées par ses abonnés, l’un d’eux lui demande : « Est-ce que vous pensez avoir un deuxième enfant ? »

Et l’influenceuse taclée à cause de sa soirée de Saint-Valentin de répondre tout d’abord : « Oui, mais j’aimerais laisser 2 ans minimum avant de penser au 2ᵉ. »

Puis, la jeune femme accusée d’abuser de Photoshop prend la parole face caméra : « Enceinte aussi vite après Andréa, je veux vraiment laisser un temps entre les deux. Parce que j’aimerais un autre enfant comme je vous l’ai dit, mais je veux vraiment laisser… pas un grand espace non plus parce que je n’ai pas envie qu’il y ait une grosse différence d’âge. Mais si possible, je pense déjà pas avant 2 ans. J’ai vraiment envie de profiter d’Andréa à fond. Des premiers moments, de donner vraiment toute mon attention pour lui. Et ensuite quand il commencera d’être un peu autonome, et justement à se débrouiller un peu, je me dis pourquoi pas enchaîner le deuxième. J’aimerais bien, mais pas de suite. Je veux profiter de mon fils. »

Puis de revenir sur les difficultés du petit Andréa : « Là, ça commence à aller mieux avec Andréa, du coup, on commence un peu plus, entre guillemet… c’est un kiff depuis le début mais avoir passé les étapes les plus compliquées où il avait ses crises, ses problèmes de rejet et tout, c’était dur parce qu’au final, on était tout le temps mal. On le voyait mal, on ne savait pas quoi faire.  On ne pouvait rien faire. On a eu de la chance au final d’avoir trouvé le bon traitement. Mais voilà, là, on a vraiment envie de kiffer. »