Laeticia Hallyday prend la parole
Le 30 Janvier dernier, Kelly Vedovelli avait tenu des propos virulents envers Joy, la fille de Johnny et Laeticia Hallyday. En effet, elle trouvait que la jeune adolescente était trop vulgaire sur ses réseaux sociaux. Raymond avait défendu Joy, rappelant qu’il s’agissait d’une nouvelle génération et de nouvelles moeurs. Mais Kelly Vedovelli avait alors rétorqué : « Et alors ? Parce que c’est la nouvelle génération, on a le droit d’être des ‘te-pu’, non mais arrête, tu délires. »
Ces propos n’ont pas du tout été tolérés par Laeticia Hallyday. Et elle a condamné les propos de Kelly Vedovelli –violemment taclée par Jazz– lors d’une interview accordée à SudInfo. » Il y a des choses qui sont intolérables. La société est dans le jugement. Il y a beaucoup de haine qui s’est installée après le Covid. Il faut protéger nos enfants de ça. Et malheureusement, ils sont v.ictimes aussi des réseaux sociaux, parce que c’est leur génération. Ce n’est plus la même génération que la nôtre, il y a des codes qu’on ne comprend pas tout le temps. Mais ce que Joy a vécu, à 14 ans, c’est d’une telle viole.nce ! C’est mon devoir de maman de protéger mon enfant, de la protéger de toute cette injustice, c’est intolérable ». De nombreux candidats dont Julie Bertin ont également condamné ces propos.
La mère de Joy furieuse contre Kelly Vedovelli
D’ailleurs, Laeticia Hallyday explique qu’avec Johnny c’était pour cette raison qu’ils avaient décidé de s’installer à Los Angeles. En effet, ils voulaient retrouver « un peu d’anonymat ». Et la mère de Jade a ajouté : « C’était la liberté d’être inconnu. Ça permettait de protéger nos enfants de tout ce tribunal médiatique, parfois atroce à vivre, du jugement des uns et des autres. »
À présent, la plainte de Laeticia Hallyday contre Kelly Vedovelli, qui a levé le suspense sur sa relation avec Cyril Hanouna est entre les mains de la justice. Le 20 Février dernier, Gilles Gauer avocat de Joy, a affirmé : « Le comportement de Joy Hallyday était ainsi assimilé à celui d’une « tepu », le verlan de « p.ute ». De tels propos outrepassent les limites admissibles de la liberté d’expression dès lors que leur v.ictime est une adolescente âgée de 14 ans »