Il n’y a pas qu’en France que le concours des Miss essuie des scandales. L’un des plus connus concerne Valérie Bègue, élue Miss France 2008. Après son couronnement, des photos d’elle en sous-vêtements sortent dans la presse. Jugés trop suggestifs, ces clichés contreviennent au règlement du concours qui stipule qu’une candidate ne doit jamais s’être « exhibée dans des tenues ou poses équivoques, partiellement ou totalement dénudées ».
Malgré les demandes de celle qui détestait Sylvie Tellier de rendre sa tiare, Valérie Bègue est soutenue par le public et honore son année de Miss, comme prévu. En revanche, la jeune femme à l’interdiction de participer aux compétitions internationales. À ce propos, Joey Starr faisait une blague de mauvais goût. Le scandale qui fait le tour du monde aujourd’hui est d’un autre genre. Néanmoins, il implique lui aussi des clichés provocateurs.
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Miss Belgique : une candidate achète des votes avec des photos dénudées
L’affaire éclate le 18 juillet 2023. Flore Pensaert, une candidate au concours Miss Belgique de 25 ans, se fait exclure de la compétition. Et pour cause, le conseil d’administration a appris que la candidate aurait proposé des photos des photos d’elle dénudée en échange des votes de plusieurs hommes. Une technique qui lui aurait permis de se hisser jusqu’à l’étape finale du concours.
Mise devant le fait accompli, Flore Pensaert n’a pas eu d’autres choix que de reconnaître les faits. Néanmoins, elle tempère la polémique en assurant que ses photos n’étaient ni vulgaires, ni explicites. Auprès de HLN, la Miss déchue affirme que les photos promises ont été réalisées dans le cadre de son travail de « modèle nu artistique », prises lors d’un shooting à Paris.
Flore Pensaert : elle refuse de retirer ses photos dénudées
Dans un premier temps, la présidente de Miss Belgique aurait simplement demandé à la candidate de retirer toutes des photos de nu artistique de ses réseaux sociaux. Contre toute attente, la candidate non seulement refuse, mais en plus, elle poste de nouveaux clichés. Face à cette attitude désinvolte, le conseil d’administration a donc décidé de l’exclure du concours. Toutefois, l’affaire ne s’arrête pas là.
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Sur les réseaux sociaux, Flore Pensaert s’en prend à la directrice du concours, Darline Devos. Elle l’accuse notamment de lui avoir interdit de parler à la presse sous peine de payer une amende de 5 000 euros comme le stipulerait son contrat. Cependant, selon la directrice, cette clause n’aurait jamais existé. D’autant que Flore n’aurait signé aucun contrat. Ce 23 août, la jeune femme aurait reçu une lettre d’avocat l’intimant de régler ce différend dans les 48 heures. Sans quoi, la société Miss Belgique entamera des actions en justice au frais de la candidate. Quelque chose nous dit que cette affaire n’a pas fini de faire parler.