Une Knacki Ball met un enfant en danger
Sur le même sujet
Mais, cette fois, c’est une autre enfant qui nous interpelle…
En effet, c’est en 2012 à Lyon, que la petite Mayline s’étouffait en mangeant une mini-saucisse ronde « Knacki Ball », fabriquée par la société Herta. Fort heureusement, elle avait survécu après avoir fait plusieurs arrêts cardiorespiratoires. Mais aussi après avoir un coma dans lequel on l’a poussée.
Cependant, Le Parisien explique que Mayline souffre à ce jour d’importantes séquelles.
Articles les plus consultés
Top 10 du jour
Découvrez les articles du moment
-
Mort du petit Émile : ce que l'on sait de son oncle "à peine majeur" et ancien judoka placé en garde à vue !
-
"C’est violent…" : Miss France 2025 fond en larmes en évoquant le harcèlement qu’elle subit !
-
"Prends un styliste" : la tenue de Carla Moreau aux côtés de sa fille Ruby choquent les internautes !
-
"J'ai envie de l'insulter" : Cyril Hanouna s'en prend violemment à Laury Thilleman dans un audio rendu public, elle réplique !
-
Elsa Bois : sa sœur Alizée balance sur sa rupture avec Michou, "C'était lui avant le reste du monde"
-
Julien Doré à St-Etienne : son très beau geste envers une grand-mère veuve avant son concert
-
"Il y a eu des #MeToo pour moins que ça" : Jérémy Frérot agacé par le commentaire d'une fan, il la remet à sa place en plein concert
-
Nekfeu : accusé de violences psychologiques, sexuelles et physiques, son ex-compagne condamnée à de la prison avec sursis !
-
Mort d’Émile au Vernet : cette erreur capitale commise par ses grands-parents au moment de sa disparition
-
Poupette Kenza : sortie de prison, l’influenceuse revient bientôt avec un gros projet !
Et, c’est seulement le 15 mai dernier que la cour d’appel de Paris a confirmé le jugement en civil du tribunal de grande instance de Paris. En 2016, il reconnaissait « Herta entièrement responsable des conséquences préjudiciables de l’accident. »
L’entreprise avait ainsi été condamnée à verser 150 000 euros à titre de provision à la famille. Mais, cette somme sera à nouveau examinée le 9 octobre prochain.
Le PDG de la marque, Arnaud De Belloy a confié « compatir vis-à-vis de la famille. »
Mais, ce n’est pas tout ! Car, il a tenu à ajouter par la suite : « Nous allons tenir compte du jugement pour améliorer l’étiquetage. Nous allons dramatiser l’avertissement. Ce produit peut être dangereux pour les enfants de moins de 4 ans. Il y aura une mention directe sur le risque possible d’étouffement. »
On espère que ce genre d’incident ne se reproduira plus…