Laura Smet : elle explique ce qu’elle a ressenti en voyant le corps de Johnny Hallyday

Laura Smet n’est pas du genre à garder ses pensées pour elle. Particulièrement lorsqu’il s’agit d’exprimer ses sentiments sur son défunt père, Johnny Hallyday. Cela a été une fois de plus démontré lors de son apparition dans le podcast La vie de Nelly, animé par une fervente admiratrice du chanteur. Cet espace lui a permis de partager des réflexions profondes et personnelles, loin des projecteurs habituels.

En parallèle, Lætitia Hallyday continue d’honorer la mémoire de Johnny, notamment à travers des messages poignants publiés sur ses réseaux. Alors, que révèle Laura Smet dans ce contexte émotionnel chargé ? Elle aborde le souvenir de la première fois qu’elle a vu son père décédé, un moment de réalité brute. Ce témoignage offre un aperçu de la complexité des sentiments qu’elle éprouve. En effet, son cœur oscille entre la douleur de la perte et le besoin de célébrer un être aimé si connu.

Un jour, un souvenir gravé

Le jour du 15 juin résonne avec une double signification pour Laura Smet. Non seulement il marque l’anniversaire de son père, mais aussi l’anniversaire de son propre mariage. C’est une journée empreinte d’émotions contrastées, entre le souvenir douloureux de la perte et la célébration de l’amour. Ainsi, c’est lors de cet anniversaire particulier que Laura a partagé une révélation intime sur le podcast La vie de Nelly.

D’ailleurs, les révélations sont la spécialité de la jeune maman. En effet, c’est bien Laura Smet qui avait dévoilé le comportement de Lætitia Hallyday pendant les dernières heures de son défunt mari. Sur le podcast, Laura a décrit en détail la première fois qu’elle a vu le corps de Johnny après sa mort, un instant qui l’a profondément marquée :

Il était habillé en costume, il était très beau. Je vais te révéler un truc. Je n’avais jamais vu de mort avant.

Laura Smet ne reconnaît pas son père

Cette confrontation avec la réalité du deuil a été pour Laura un moment de profonde introspection. Elle confie :

Quand je suis rentrée, je me suis dit : ‘Mais ce n’est pas mon père, il est beaucoup plus petit.’ Son âme était tellement grande […], mais là, j’ai vu un corps qui était beaucoup plus petit que mon père.

Cette expérience a révélé la dissonance entre le père qu’elle connaissait, vibrant et plus grand que nature, et la figure reposant paisiblement devant elle.

De plus, malgré l’éloignement, Laura n’a pas revisité la tombe de son père à Saint-Barthélemy. Elle a simplement expliqué la distance comme une barrière, un autre aspect complexe du deuil et de la mémoire dans la vie publique et personnelle. D’ailleurs, Jade et Joy non plus ne lui ont pas rendu hommage à Saint-Barth. Cela met en avant non seulement la douleur de la perte, mais aussi les défis émotionnels de rester connecté avec ceux que nous avons perdus.