Depuis qu’elle a été prise pour cible par Booba, Magalie Berdah a vu son empire s’effondrer un peu plus chaque jour. Pour rappel, le rappeur a accusé la fondatrice de Shauna Events de pratiques commerciales trompeuses. En effet, le Duc a signalé son activité commerciale en dénonçant son recours au drop shipping et les arnaques des « influvoleurs ». Cette histoire entre les deux personnalités s’est d’ailleurs terminée au tribunal.
Et oui, Magali Berdah a porté plainte contre le chanteur de Scarface mais aussi contre le réseau social X, anciennement Twitter, pour « complicité de harcèlement moral aggravé ». Pour finalité, celle qui se fait surnommer « la papesse des influenceurs » a perdu un à un ses contrats avec les influenceurs et a vendu sa boîte pour un euro symbolique. Une situation qui n’a pas manqué de faire jubiler B2O.
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Magali Berdah jugée pour blanchiment d’argent et banqueroute
Et après cette tourmente médiatique dans laquelle Magali Berdah a été plongée, sans compter les 500 000 euros qu’elle devait au fisc, voilà que l’ex patronne de Shauna Events se retrouve de nouveau confrontée à la Justice. Mais cette fois, c’est bien elle qui est assise sur le banc des accusés. Effectivement, elle a comparu ce lundi 30 septembre devant le Tribunal correctionnel de Nice (Alpes-Maritimes) pour des faits de banqueroute et de blanchiment d’argent.
Selon le parquet de Nice, la procédure met en cause sa gestion de la société de courtage en assurances BA&CO, entre le 30 janvier 2014 et le 31 juillet 2015, au lendemain de la liquidation judiciaire de cette dernière. Le passif est estimé à près de 2,5 millions d’euros. Selon le compte @kryssocialmédia, une interdiction définitive de gérer a été demandée. De plus, l’avocat du mandataire liquidateur de la société a réclamé à Magali Berdah et aux trois co prévenues 1,6 million d’euros pour la perte subie par les créanciers.
La fondatrice de Shauna Events risque la prison ferme
À l’issue de l’audience, le parquet de Nice a requis 18 mois de prison dont six fermes sous bracelet électronique contre la personne de Magali Berdah. De son côté, elle nie en bloc toutes les accusations. En effet, lors d’un entretien avec le quotidien local Nice Matin paru le vendredi 27 septembre, elle assurait n’être qu’une « simple salariée » de la société et qu’elle n’avait rien gagné dans la banqueroute.
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Une déclaration qui ne convainc pas la procureure Sylvie Maillard. Lors de l’audience du 30 septembre, cette dernière n’est pas dupe : « Elle apparaît comme le personnage central de cette société. Elle s’en défend, mais tous les faisceaux d’indices convergent ». De leur côté, les avocats de la défense plaident la relaxe, ceux de Magali Berdah fustigeant une enquête « tardive et peu probante ». Pour l’heure, le jugement a été mis en délibéré au 25 novembre. Affaire à suivre.
La magistrate du parquet de Nice requiert 18 mois de prison dont un an avec sursis. La partie ferme de la condamnation pourra être aménagée pour être effectuée à domicile sous surveillance électronique. Une interdiction définitive de gérer est également demandée.
Avocat du… https://t.co/5YBcFiSy0R— Krys (@KrysSocialMedia) September 30, 2024