Décès de Michel Blanc : les causes de sa disparition changent avec un témoignage

Aux alentours de 23h, le jeudi 3 octobre dernier, Michel Blanc nous quittait. Âgé de 72 ans, le mythique acteur des Bronzés s’éteignait à l’hôpital Saint-Antoine de Paris après un énième infarctus, fatal. Une soirée extrêmement douloureuse pour sa femme Ramatoulaye, qui l’a accompagné jusqu’au bout tout en tenant ses amis au courant de la situation.

Sous le choc, ses camarades de la troupe du Splendid lui ont rendu de fervents hommages le 4 octobre au matin. De son côté, Marie-Anne Chazel n’a pas appris la nouvelle de la plus douce des manières qui soit. Une semaine après le décès de Michel Blanc, qui préparait un nouveau projet pour 2025, les causes du drame avancées changent avec un nouveau témoignage. On vous en dit plus.

Michel Blanc décédé à cause d’un produit de contraste ?

À peine cinq jours après la disparition de Michel Blanc, le magazine Paris Match lui rendait hommage dans un numéro spécial. L’occasion de revenir sur sa carrière, mais également sur les circonstances de son décès. D’après leurs informations, l’acteur se serait rendu à l’hôpital pour une banale radiologie de contrôle des reins. Mais tout ne se serait pas déroulé comme prévu. Notamment en raison de l’injection d’un produit de contraste auquel il aurait mal réagi.

De fait, Michel Blanc aurait commencé à « éprouver une sensation étrange, comme un gonflement et des démangeaisons dans le cou ». Contre toute attente, ce choc anaphylactique, semblable à une violente allergie, lui aurait causé plusieurs infarctus. Et c’est finalement au bout du sixième que l’inoubliable interprète de Jean-Claude Dusse a succombé. Mais voilà que nos confrères du magazine Marianne viennent remettre en cause cette première version des faits.

Un nouveau témoignage remet en question cette hypothèse

Contre toute attente, ces derniers ont recueilli le témoignage d’une nouvelle source hospitalière. Et leur version contredit formellement ce qui a été rapporté préalablement sur les causes du décès de Michel Blanc. D’après leur enquête, l’acteur avait bel et bien rendez-vous au centre radiologique du 14e arrondissement de Paris, entre Alésia et Denfert-Rochereau, pour un simple examen du bas de l’abdomen. À la différence qu’il n’a visiblement jamais reçu d’injection.

« Sa gorge le grattait, il respirait mal, et cela a commencé dès qu’il est arrivé. Contrairement à ce qui a été dit, il ne lui a pas été injecté de produits de contraste, puisqu’aucun examen radiologique n’a eu lieu« , affirme la source. D’après cette dernière, « on ne saura jamais » ce qu’il s’est réellement passé. Toujours est-il qu’aucune autopsie ne sera réalisée sur le corps de Michel Blanc. Rien ne saurait donc dire ce qui a provoqué cette violente allergie.