Le 4 novembre dernier, Ayem Nour fait son grand retour avec la sortie de son autobiographie Toutes celles que je suis. Alors qu’elle a récemment officialisé son divorce avec Dylan Thiry, l’animatrice de 35 ans a dévoilé des révélations croustillantes dans ce livre de 192 pages. Dans cette œuvre, elle se livre sur sa vie, ses espoirs, et ses combats, tout en abordant des épisodes marquants de son parcours, y compris sa tumultueuse relation avec Vincent Miclet et son mariage avorté avec Dylan Thiry. Elle évoque aussi une rencontre surprenante avec Gérard Depardieu, qui l’aurait draguée dans un bain à remous.
Ayem confie dans son livre avoir longtemps caché ses sentiments et ses luttes, mais elle est désormais prête à partager son histoire. Aussi, elle est revenue sur ses débuts en tant qu’animatrice sur Le Mag avec Matthieu Delormeau, un souvenir qui lui laisse un goût amer en raison de la pression et des critiques liées à son apparence post-grossesse. Avec des passages poignants sur son combat pour retrouver son corps après sa maternité et la lutte contre les standards de beauté, Ayem Nour espère que son autobiographie sera une source d’inspiration pour d’autres femmes.
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Ayem Nour accusée par son ex-mari d’avoir kidnappé leur fils
Il y a un an, Ayem Nour, l’ancienne star de télé-réalité, a pris une décision audacieuse qui a plongé sa vie dans le chaos. Alors qu’elle vivait paisiblement au Maroc avec son fils, Ayvin, la jeune femme a fait le choix de rentrer en France, accusant son ex-compagnon, Vincent Miclet, de violences. Un acte jugé inacceptable par le père de l’enfant, qui a rapidement dénoncé un véritable enlèvement orchestré par celle qui fut autrefois sa complice. À cet égard, l’homme d’affaires prospère, n’a pas manqué de rappeler les efforts qu’il a consentis pour assurer le bien-être de sa famille. « J’ai généreusement offert à Ayem la jouissance d’une villa somptueuse à Marrakech, une pension mensuelle conséquente et des facilités de déplacement pour notre fils ». Malheureusement, cette belle harmonie a été brisée, et les tensions entre les deux ex-amants n’ont cessé de croître, transformant leur séparation en une guerre médiatique.
En l’accusant de kidnapping, Vincent a accusé Ayem d’avoir non seulement violé la loi, mais d’avoir également déclenché un véritable conflit diplomatique entre la France et le Maroc. En effet, Ayem Nour a été condamnée à quatre mois de prison avec sursis en mai dernier pour enlèvement de mineur. Ce verdict a été le point de départ d’un véritable tourbillon médiatique. De retour en France, la maman n’a pas hésité à partager son émotion sur Instagram, exprimant son soulagement avec ces mots : « Le soulagement est indescriptible, la joie est immense. Des batailles, j’en ai connues. Mais celle-ci est de loin la plus grande et la plus impressionnante qu’il m’a été donné d’affronter : me battre contre la ‘toute puissance’ pour le bien-être et l’équilibre de mon fils. »
La jeune maman brise le silence suite à ces accusations
Dans une récente interview accordée à Melty, Ayem Nour a brisé le silence sur une période sombre de sa vie, marquée par des accusations de kidnapping. Elle se souvient avec émotion du moment où son fils Ayvin a découvert l’histoire, en voyant ses parents en couverture d’un magazine à l’aéroport. « Il m’a dit : ‘Maman ! Maman ! Papa et toi, vous êtes en couverture de magazine ! Mais pourquoi y’a marqué « kidnapping » ? Mais maman, c’est n’importe quoi ça !‘ », raconte-t-elle. Désemparée, Ayem confie qu’elle n’a pas su trouver les mots face à cette question innocente. « Mais une maman, ça peut pas kidnapper son fils ? », a ajouté Ayvin, une réponse que sa mère considère comme la plus belle.
Sur le plan juridique, Ayem insiste sur le fait qu’il n’y avait pas de kidnapping, précisant qu’elle avait la garde de leur fils pendant que Vincent bénéficiait d’un droit de visite. Toutefois, elle révèle que la situation s’est compliquée et que son ex-compagnon a commencé à exercer du chantage. Vincent Miclet, décrit par Ayem comme un homme très investi et rassurant, a pourtant exercé un contrôle excessif sur sa vie. « Je n’étais plus décisionnaire de mes envies, de mes choix, de ma liberté, » confie-t-elle, ajoutant qu’il influençait même sa manière de s’habiller. Aujourd’hui, elle déplore l’absence d’une relation apaisée avec son ex. « Ça ne me convient pas pour l’équilibre de notre fils, car il a besoin d’une figure paternelle, » conclut-elle, témoignant d’une relation complexe qui laisse des traces indélébiles.