À l’occasion de la Journée internationale contre le harcèlement scolaire, Gabriel Attal était invité sur le plateau de Quotidien ce jeudi 7 novembre. L’ancien Premier Ministre, qui a brièvement dirigé le gouvernement de janvier à septembre 2024, a profité de sa présence pour évoquer son engagement contre le harcèlement, ayant lui-même souffert de ce fléau en raison de son homosexualité.
Lors de cette émission, il a pu évoquer l’association « Faire Face », lancée par Béatrice Le Blay. Une association créée pour sensibiliser, prévenir et lutter activement contre le harcèlement scolaire. Gabriel Attal a également rappelé l’existence du 3018, un numéro d’assistance mis en place pour soutenir les victimes de harcèlement scolaire et de cyberharcèlement. Ce numéro est gratuit et permet aux jeunes de parler avec des conseillers spécialisés pour obtenir de l’aide en cas de détresse, que ce soit à l’école ou en ligne.
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Un débat autour de la « macronie »
Lors de ce passage TV, l’homme politique n’a pas pu échapper aux questions de l’animateur de l’émission, Yann Barthès. Outre les élections américaines, celui-ci a décidé de l’interroger sur l’état actuel de la social-démocratie en France. Gabriel Attal a commencé par évoquer la montée de l’extrême droite en France avant d’être coupé par l’animateur…
Yann Barthès a relancé la question avec insistance : « Est-ce que la social-démocratie est en panne ? ». Gabriel Attal a alors tenté de clarifier son point de vue en expliquant qu’il avait du mal à voir, dans le débat public actuel, une incarnation claire de la social-démocratie française.
Gabriel Attal défend le Président de la République et sa politique
C’est à ce moment-là que le chroniqueur Jean-Michel Apathie est intervenu avec une remarque qui a immédiatement capté l’attention du public. « Le macronisme a échoué », a-t-il déclaré. Gabriel Attal lui a alors demandé ce qu’était le macronisme selon lui. La réponse d’Apathie a immédiatement fait rire l’assistance :
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Ah bah ça, on n’a jamais su. Je suis désolé, je ne voulais pas le faire, mais là, j’ai attrapé la perche.
Des propos qui ont continué d‘amuser le public. Mais Gabriel Attal, descendant de plusieurs rois européens, ne s’est pas dégonflé pour autant : il a tenu à répondre avec sérieux au journaliste :
Pour moi, le macronisme, c’est croire qu’on peut travailler ensemble, même si on vient d’horizons différents. On peut venir de la gauche, de la droite, du centre, de la société civile… Il y a des défis qui sont tellement importants : le réchauffement climatique, l’intelligence artificielle, la protection de nos frontières. On peut travailler ensemble.
Gabriel Attal a souligné que le macronisme reposait également sur une forte conviction européenne, affirmant que « la France sera plus forte si l’Europe est plus forte ».
Et a conclu en expliquant que, selon lui, beaucoup de Français se retrouvent encore dans ces valeurs et qu’il est important de continuer à les convaincre.