Avec un jury 100% féminin qui déplaît fortement, la cérémonie Miss France 2025 se tiendra le 14 décembre prochain au Futuroscope de Poitiers. Un événement majeur de la télévision française qui désignera celle qui succèdera à Ève Gilles. À bientôt une semaine du show, les 30 Miss régionales n’ont jamais été si près du but.
De son côté, Sylvie Tellier a révélé qui était sa favorite cette année. Rappelons que cette dernière n’est plus la chaperonne des Miss, puisque c’est Cindy Fabre qui occupe désormais cette place convoitée. Du côté des Miss, les portraits voient le jour. Si l’une d’elles a été hospitalisée plusieurs semaines, Miss Auvergne a sauvé la vie de son petit frère. On vous raconte.
Une candidate à Miss France a sauvé la vie de son petit frère
Le samedi 14 décembre prochain aura lieu la cérémonie de Miss France 2025 au Futuroscope de Poitiers. À quelques jours de l’événement tant attendu qui désignera une Miss régionale pour succéder à Ève Gilles, la tension n’a jamais été si forte. Pour les 30 candidates, c’est également le moment pour se révéler aux médias. On apprend ainsi que Miss Auvergne, Romane Agostinho, a sauvé la vie de son petit frère lorsqu’ils étaient encore enfants.
À 28 ans, l’ostéopathe animalière s’est confiée avec émotion sur cet accident marquant. Dans les colonnes de nos confrères de Télé-Loisirs, elle a avant tout tenu à remercier sa famille pour leur soutien inconditionnel. « Ma famille est vraiment à fond derrière moi, ils ont toujours été un grand soutien peu importe ce que je faisais comme mes études atypiques qui coûtent assez cher. Ils m’ont toujours poussée dans tout ce que je voulais faire, c’est la plus belle des preuves d’amour« , a-t-elle fait savoir.
Romane Agostinho, Miss Auvergne 2024 se confie
Puis, la jeune femme en lice pour Miss France est revenue sur ses vacances dans les Landes qui auraient pu tourner au drame. « On était à Contis les Bains avec ma famille. Ma maman était à côté de nous et on trempait juste le bout de nos pieds », relate-t-elle dans un premier temps pour dresser le décor. « Il y a quand même parfois de très grandes vagues par moments et il y en a eu une beaucoup plus grosse que les autres. Elle est venue nous chercher et le sable s’est creusé sous nos pieds« , a poursuivi Romane Agostinho.
« Mon frère s’est fait embarquer et je le tenais du bout de la main. Lui était à l’horizontal, entraîné par la vague. J’ai vu sa casquette s’envoler au large en quelques secondes. Et je l’ai tenu de toutes mes forces parce que si je le lâchais, je me disais qu’il allait partir. Donc je ne l’ai pas lâché ! Ma maman me tenait de l’autre côté, j’ai eu vraiment peur. On était jeunes, je devais avoir 10 ans et lui 5 ans« , s’est-elle finalement souvenue avec une vive émotion.