Victoria Mehault, révélée dans Les Marseillais aux Caraïbes, est aujourd’hui une influenceuse suivie par plus d’un million de personnes. Célèbre pour ses aventures amoureuses et ses partages plein d’humour et de second degrès, elle s’est récemment tournée vers un rôle plus intime : celui de jeune maman. Après des histoires d’amour marquées par des ruptures médiatisées, notamment avec Bastos (qui serait encore amoureux d’elle), Victoria a finalement trouvé la stabilité aux côtés de Loren, rencontré par hasard lors d’une soirée entre amis. Et le couple a rapidement accueilli un petit garçon, Lio, qui a bouleversé leur quotidien.
Quelques semaines après la naissance du petit garçon, elle a dévoilé son visage dans une adorable vidéo où le bébé, habillé d’une tenue tricotée, a conquis le cœur des internautes, qui n’ont pas manqué de souligner sa ressemblance frappante avec sa mère. Par ailleurs, toujours proche de sa communauté, Victoria a créé un compte Instagram pour son fils, intitulé Les Pompinous, où elle publie des instants précieux de leur vie de famille.
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Victoria Mehault face aux défis de la maternité
Devenir maman est une expérience merveilleuse, mais elle s’accompagne aussi de nombreux défis, surtout dans les premières semaines après l’accouchement. Entre la chute brutale des hormones, les douleurs physiques et l’apprentissage d’une nouvelle vie avec un bébé, il n’y a pas de mode d’emploi pour tout gérer. Et Victoria Mehault, toujours honnête avec sa communauté, n’a pas hésité à partager ses difficultés en story. Le jeudi 3 octobre, elle a notamment évoqué un aspect méconnu : les contractions post-accouchement, appelées tranchées. La jeune maman a confié qu’elle en souffrait beaucoup, et que ces douleurs rendaient cette période encore plus éprouvante.
À cela se sont rapidement ajoutées les nuits agitées de son fils, Lio. « Impossible de le poser dans le cododo sans qu’il hurle », a-t-elle expliqué, précisant que, curieusement, le bébé semble plus apaisé en journée. Fatiguée et débordée, Victoria n’a pas caché son désarroi face aux réveils nocturnes répétés. Et pour celles qui lui conseillent de « laisser pleurer » son bébé, sa réponse est sans équivoque : « Allez en enfer ! » Avec son franc-parler habituel, Victoria montre que la maternité, bien qu’emplie d’amour, est aussi un parcours semé d’embûches, où chaque jour est un apprentissage.
La jeune maman se confie sur l’éducation qu’elle souhaite donner à son fils
Lors d’une interview où elle s’accordait un moment de détente en se faisant les ongles, Victoria Mehault a livré ses réflexions sans filtre sur l’éducation qu’elle souhaite offrir à son fils, Lio. Dès le début, l’influenceuse n’a pas mâché ses mots : « On ne va pas élever mon enfant en France. L’Éducation nationale, c’est l’horreur, le système scolaire, c’est l’horreur. Et je le sais parce que moi, je l’ai très mal vécu. » Victoria a expliqué que, malgré de bonnes notes, elle avait souffert d’un trouble de l’attention qui l’empêchait de s’épanouir dans le système scolaire français. Elle se rappelle avoir souvent dormi en classe et ne pas se sentir faite pour l’école telle qu’elle est structurée en France.
Forte de cette expérience, elle souhaite offrir à son fils une éducation différente, à l’étranger. C’est donc à Dubaï qu’elle envisage de scolariser Lio. En plus d’un système scolaire qu’elle juge plus adapté, elle y voit l’opportunité pour son fils de maîtriser trois langues dès son plus jeune âge. « Je veux lui donner clefs en mains tout ce que je n’ai pas eu », confie-t-elle. Victoria a également abordé la question de la sécurité, un aspect primordial pour elle depuis qu’elle est devenue maman. Selon elle, en France, le danger est partout. Et elle a ainsi abordé son anxiété grandissante face à ce qu’elle perçoit comme un environnement moins sûr. Pour elle, Dubaï représente le compromis idéal et allie sécurité et qualité de vie pour Lio !
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