Cécile, qui s’est confiée sur son gros salaire d’influenceuse, s’est fait connaître du grand public en participant à la cinquième saison de Mariés au premier regard. Cette expérience, bien que marquante, n’a pas abouti à une relation durable avec Alain, son mari désigné par les experts. Mais au-delà de l’émission, c’est aujourd’hui pour un sujet plus personnel qu’elle prend la parole. À savoir, la crise d’adolescence de sa fille Anissa.
Alors que Mariés au premier regard a fait son retour avec une séquence gênante et un mariage annulé le jour-même, Cécile s’est confiée à Sam Zirah. Elle est revenue avec émotion sur cette période compliquée avec sa fille, marquée par des tensions extrêmes et des comportements qui l’ont poussée à demander de l’aide. Elle décrit une situation délicate, où elle s’est sentie démunie face aux actes d’Anissa.
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Une crise d’adolescence difficile
Cécile ne cache rien des épreuves qu’elle a traversées en tant que mère. Elle décrit une adolescence « très violente » pour Anissa, marquée par des disputes incessantes et des attitudes déconcertantes. « Elle savait plus ce qui était le bien ou le mal. Ça a été très compliqué pour moi de gérer », explique-t-elle à l’animateur. La jeune femme, alors en pleine crise, manifestait des comportements qui mettaient en difficulté leur relation.
Les fugues répétées d’Anissa ont particulièrement inquiété sa mère, qui s’est sentie impuissante. « Anissa, c’était la pro de la fugue », confie-t-elle. Face à cette situation alarmante, Cécile a pris une décision radicale : demander l’intervention de l’Aide Sociale à l’Enfance (ASE) pour garantir la protection de sa fille. Elle précise toutefois qu’Anissa n’était pas une délinquante, mais que son propre rôle de mère était devenu trop difficile à assumer seule. « Je n’avais plus ce pouvoir de gérer ma fille, de protéger ma fille », avoue-t-elle avec sincérité.
Un choix douloureux mais nécessaire
Si cette décision a été difficile à prendre, Cécile ne regrette pas d’avoir fait appel aux services sociaux. Pour elle, il était essentiel de placer Anissa dans un cadre plus sécurisé afin d’éviter qu’elle ne prenne des chemins encore plus dangereux. « C’était un mal nécessaire », estime-t-elle, consciente que cette période a été douloureuse pour elles deux. L’intervention de l’ASE a permis d’offrir à Anissa un suivi et un encadrement mieux adapté à ses besoins.
Aujourd’hui, Cécile observe une évolution positive chez sa fille. Même si tout n’a pas été simple, elle est fière du chemin parcouru. « On a traversé des tempêtes, mais aujourd’hui, on s’en sort », dit-elle avec espoir. Anissa, autrefois perçue comme une jeune femme au caractère affirmé lors de son apparition dans l’émission, semble avoir trouvé un équilibre. Un témoignage poignant qui met en lumière les défis de l’éducation parentale face à une adolescence mouvementée.