Au cours de l’été 2023, le petit Émile, deux ans et demi, a disparu sans laisser la moindre trace dans ce village du Haut-Vernet. Et à ce jour, seuls les ossements du jeune garçon ont été retrouvés en mars de la même année, laissant le mystère entier quant aux circonstances de ce drame. Alors, près de deux ans plus tard, cette affaire continue de hanter la France, ainsi que les enquêteurs en charge du dossier. Que s’est-il réellement passé ce 8 juillet 2023 ?
Aujourd’hui encore, les autorités tentent donc de répondre à cette question fatidique. Et récemment, la mise en lumière d’un nouvel élément a permis de redonner un élan à l’enquête. En effet, la saisie d’une intrigante jardinière a révélé la présence de traces de sang suspectes. De la même manière, un lieu fréquenté par la famille du petit Émile intéresse profondément les enquêteurs. Plus que jamais, donc, les investigations progressent.
Cette piste prise au sérieux dans la disparition d’Émile
Après la perquisition de la jardinière dans la chapelle du Vernet le 13 mars dernier, une piste est de plus en plus privilégiée par les enquêteurs : celle de l’implication d’une tierce personne dans la mort d’Émile. Une source policière proche de l’enquête a en effet confié à ce propos : « Qu’il puisse y avoir une intervention humaine, ça, c’est désormais fort probable ».
C’est également ce qu’a confié le général François Daoust lors de son passage dans C’l’hebdo ce samedi 22 mars 2025. Pour l’ancien directeur de l’institut de recherche criminelle de la gendarmerie nationale, l’intervention humaine est en effet à considérer. Et ce, à différents niveaux, puisqu’il faut prendre en compte toutes les possibilités, allant de la préméditation au crime de rôdeur en passant par le malheureux accident.
Le général François Daoust se confie sur les avancées de l’enquête
Aurélie Casse a ensuite relancé le général en lui soulignant que le procureur de la République avait, de son côté, totalement écarté l’hypothèse d’un accident sans l’intervention d’une tierce personne. Mais pour François Daoust, l’explication est la suivante : « Dans une enquête, rien n’est négligé. Une intervention humaine, ça suppose d’autres indices. Et la recherche d’indices et de témoignages, on est en plein dedans ».
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Par la suite, Valentin Doyen a conclu en précisant que le procureur ne souhaitait plus communiquer. Et cela, sur la base d’un très bon argument. En effet, il ne souhaite pas donner d’indications aux personnes susceptibles d’être impliquées dans la mort du petit Émile. Alors que cela fera bientôt deux ans que l’enfant a disparu dans des conditions tragiques, tout le monde espère que des réponses concrètes verront enfin le jour.