L’enquête concernant la mort d’Émile en juillet 2023 se concentre désormais sur le cercle familial du petit garçon. Dans ce contexte, ses grands-parents, ainsi que deux de leurs enfants majeurs, ont été placés en garde-à-vue le mardi 25 mars 2025 au matin. En effet, ils sont soupçonnés d’homicide volontaire et de recel de cadavre. À noter que, ce mercredi 26 mars, leurs auditions ont été prolongées de 24 heures dans les locaux de police de Marseille.
Ces placements en garde-à-vue ont provoqué une onde de choc dans le village du Haut-Vernet, mais également à l’échelle nationale. En effet, l’information fait la une de l’actualité. De cette manière, tandis que les propos de Philippe Vedovini ont été rapportés, l’animatrice Christine Kelly fait d’autres types de confidences. Invitée dans Morandini Live sur CNews, elle raconte sa rencontre avec les grands-parents d’Émile, survenue au début de l’automne 2024.
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Christine Kelly raconte sa rencontre avec les grands-parents d’Émile
Ce mercredi 26 mars, Christine Kelly a en effet réagi à cette interpellation inattendue. Dans l’émission de Jean-Marc Morandini, l’animatrice de Face à l’info recontextualise d’abord : « Les grands-parents voulaient parler. Ce sont des gens qui n’avaient jamais parlé à la presse à part une interview à Famille Chrétienne. Ils n’avaient jamais donné une interview en direct pour s’exprimer devant les caméras. C’était leur volonté de vouloir s’exprimer ».
Finalement, après plusieurs semaines d’hésitation, la journaliste de 55 ans décide alors de faire le déplacement jusqu’à La Bouilladisse, lieu de résidence d’Anne et Philippe Vedovini. « J’ai passé une journée chez eux », raconte-t-elle. Au vu des circonstances, Christine Kelly avoue néanmoins qu’elle appréhendait son face à face avec les grands-parents d’Émile. Pourtant, elle est reçue dans de très bonnes conditions :
J’ai été accueillie avec le sourire. Ça peut ne préjuger de rien. C’était agréable, ils ont voulu me mettre à l’aise. Ils m’ont présenté leurs enfants, seuls deux n’étaient pas là dont la mère du petit Emile. On a déjeuné ensemble.
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L’animatrice en dit plus sur les Vedovini
Christine Kelly se souvient ensuite d’un foyer « convivial, agréable et chaleureux », dans lequel « il n’y avait pas d’ambiance de terreur ». Si les Vedovini étaient « dans la souffrance », elle assure ne rien avoir perçu de singulier auprès d’eux. « Est-ce qu’ils jouent un jeu ? Je n’en sais rien. Est-ce qu’ils étaient vraiment une famille victime ? Je n’en sais rien. (…)Ils ont rigolé à certains moments sur certains sujets. Ils ont pleuré à certains moments quand on parlait du petit Emile. Est-ce que c’était des pleurs sincères ou pas ? Je ne peux pas préjuger de rien », précise la journaliste.
Cependant, selon Christine Kelly, Anne et Philippe Vedovini craignaient d’être un jour ou l’autre mêlés au meurtre d’Émile. « On sentait qu’ils avaient un poids sur les épaules. Comme s’ils avaient peur d’être en garde à vue d’un instant à l’autre, d’être critiqués d’un instant à l’autre, de recevoir des menaces de mort d’un instant à l’autre. Nos discussions ont été très longues. Je ne peux pas dire que j’ai ressenti à un moment ni culpabilité, ni innocence de la part de l’un des protagonistes autour de la table », confie finalement l’animatrice. Un portrait mystérieux.