Une sanction intelligente
Avant d’être une Première dame Brigitte Macron était une institutrice passionnée. Elle exerçait sa profession avec beaucoup d’implication. « Elle est capable d’être très corrosive. J’avais par exemple pris pour habitude de lui écrire des petites notes en cours. Pas des mots doux, mais des anecdotes, des blagues, des citations. À chaque cours de français, j’en glissais plusieurs dans sa trousse. Et elle s’amusait de voir ce que je lui avais écrit. Quand je sortais de la classe, elle m’écrivait souvent une réponse que je trouvais ensuite dans mes affaires. J’étais pris à mon propre jeu ! », a confié un de ses anciennes élèves à la biographe Maëlle Brun.
Une autre élève lui a balancé pour la biographie de Brigitte Macron, l’affranchie sortie en janvier 2018 : « Je me souviens d’un jour où nous étudiions le thème de la passion, pour le bac français. Et elle nous avait demandé notre avis sur la notion de plaisir. Personne n’avait osé répondre. On se regardait tous sans rien dire. Et elle avait fini par lancer d’un air très enjoué que se faire plaisir faisait du bien de temps en temps ! Elle avait le don de nous décoincer ».
Nos confrères de Paris Match ont évoqué ce jeudi 27 juin, une anecdote au sujet de l’ancienne enseignante. Ses méthodes peu conventionnelles lui avaient permis de sauver deux lycéens. En effet, tandis qu’ils étaient très casse-cous, ils risquaient le renvoi. Alors, elle a plaidoyé en faveur d’une autre sanction. Et pour cause, elle a proposé au directeur Laurent Poupart qu’ils aillent « travailler pendant leurs quinze prochains jours de vacances à l’hôpital de Garches, spécialisé dans le domaine du handicap et des grands blessés ». Ainsi, ces élèves pourraient prendre plus facilement conscience des risques encourus quand on joue les cascadeurs !
Et vous, qu’est-ce que vous en pensez ?