Belgique : il étouffe et torture sa mère durant 2 heures avant de la tuer

Un matricide écoeurant

« On ne ferait même pas ça à une bête. Et pourtant Laurent Badot l’a fait à sa maman. » C’est ainsi que Me Gruslin,  a qualifié l’horrible meurtre qui a eu lieu en Belgique pour lequel il représente les parties civiles. À 30 ans, Laurent Badot a tué sa mère dans d’horribles circonstances. « Cent fois, il a eu l’occasion de s’arrêter. Il a voulu aller au bout. Vous auriez pu la laisser tranquille. Elle qui vous a toujours tout laissé passer, elle n’a pas eu la moindre chance. » a rappelé Me Gruslin relayé par le média « L’avenir ».

Les faits se seraient déroulés en Juin 2020 à Andenne en Belgique dans la maison de la victime. “En 20 ans de carrière, je n’ai jamais connu une scène de crime aussi horrible.” a révélé Me Bernès l’avocat de la fille de la victime. Selon lui, l’accusé ferait tout pour requalifier le meurtre en coups et blessures volontaires. « En deux ans et demi de détention, ce n’est jamais sa faute. C’est toujours celle des autres. Il sait ce qu’il fait. Il va même, lorsqu’il quitte les lieux, replacer le pavé qui lui a servi à briser le carreau là où il l’a trouvé. »

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Belgique : il torture sa mère avant de l’achever

Me Bernès livre alors un récit qui fait froid dans le dos…« Il la fait tomber, renverse le lit médicalisé sur elle et place un divan. Il lui donne des coups de pied. Elle pèse 52 kg. Elle tente de respirer avec 12 côtes cassées. Lui s’assied sur le divan avec le chien de 30 kg. » Mais il veille à ce que la tête de sa victime émerge pour lui jeter des abricots, de l’ammoniaque et de l’insecticide avant de l’étouffer avec un coussin… « Il s’assure qu’elle ne pourra pas en réchapper. Myriam est seule. Il peut faire ce qu’il veut. » 

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Selon lui, « il y a une culpabilité transversale, celle d’une mère qui a trop aimé celui qui l’a tuée. Myriam a vu la mort dans les yeux de son fils. » Alors que l’alcoolisme de sa mère semble avoir eu un rôle dans la motivation de ce crime terrible, Me Bernès interpelle l’accusé : « pourquoi n’êtes-vous pas parti ? Mais il l’a dit lui-même: il voulait assister à son dernier souffle et il l’a fait de tout son poids. Il l’a torturée jusqu’à la mort. »

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