Affaire Lola : cette question qui reste en suspens concernant la supecte Dahbia B. se précise

Dahbia B n’a pas livré tous ses secrets

Il y a quelques mois, en Octobre 2022, l’affaire Lola a créé une onde de choc en France… La petite fille de 12 ans a été agressée sexuellement et assassinée dans d’affreuses circonstances. La principale suspecte est une jeune femme nommée Dahbia B, âgée de 25 ans.

Des mois après, l’affaire Lola laisse encore des séquelles comme le révèle cette voisine de la victi.me au Parisien. « Bien sûr qu’il y a un avant et un après Lola. C’est choquant ! Ça s’est produit en bas de chez moi, en plein après-midi. Mes voisins sont même partis, ils ont déménagé avec leurs enfants après ce qui s’est passé. Moi, tous les jours, je pense à Lola, tous les jours, je me demande si j’avais été là, si j’avais vu cette folle qui l’a tuée… Et si, et si, et si… »

À lire aussi : Pierre Palmade : il reçoit une lettre d’adieu de son amant en prison, son contenu se précise

Cette question qui demeure sans réponse dans l’affaire Lola

Aujourd’hui, des millions de français attendent que justice se fasse pour l’affaire Lola. Mais le moins que l’on puisse dire est que le profil de la principale suscpecte Dahbia B n’est pas des plus simples. En effet, elle serait en proie à de grandes difficultés psychologiques comme en ont témoigné certains examens qu’elle a subis depuis son arrestation. Alors qu’elle a été mise en examen après avoir été placée en détention provisoire à la maison d’arrêt de Fresnes, une question subsiste. Sera-t-elle jugée aux assises ?

À lire aussi : Corée du Sud : une jeune star de 26 ans décède, son dernier post Instagram interpelle

Ainsi, son état de santé mental risque de beaucoup jouer sur son jugement. Mais selon les psychologues qui l’ont examinée en premier, si elle a été jugée très manipulatrice et violente, ses troubles n’altéreraient en rien sa faculté de discernement. Alors, elle pourrait être jugée sans atténuation et encourir les peines maximales. Toutefois, selon les informations de Closer, sa défense a le droit de demander une contre-expertise.

À lire aussi : Essonne : un enfant de 10 ans agressé par un homme au masque de clown