Le sosie zombie d’Angelina Jolie demande de l’aide à l’actrice
De son vrai nom Fatemeh Khishvand, la jeune femme connue mondialement pour être le sosie zombie d’Angelina Jolie vient d’être relâchée par la justice iranienne. En effet, Sahar Tabar s’est fait arrêter l’année passée pour « corruption, incitation à la violence et blasphème« . Encourant 10 années de prison, elle a réussi à gagner son combat contre les autorités iraniennes. Depuis octobre 2019, le sosie zombie d’Angelina Jolie a tout de même passé 14 mois en prison. Mais grâce à sa médiatisation, la jeune femme a pu bénéficier du soutien d’Amnesty International ainsi que d’un centre américain œuvrant pour les droits de l’Homme en Iran. Sahar Tabar s’était également adressée directement à Angelina Jolie pour lui demander de l’aide.
De nouveau en liberté, elle s’est confiée à la chaîne Rokna, dévoilant son véritable visage. En effet, Sahar Tabar n’a jamais subi aucune chirurgie esthétique dans le but de ressembler à l’actrice américaine. Encore moins 50 comme cela a pu être dit. La jeune femme doit sa popularité sur les réseaux sociaux à son maquillage, ses retouches photos ainsi que des prothèses. « Ce que vous avez vu sur Instagram n’étaient que des effets spéciaux que j’ai utilisés pour créer cette image » a-t-elle expliqué.
Et d’ajouter que depuis sa plus tendre enfance, elle rêve de devenir célèbre. « Internet était la solution facile. C’est bien plus simple que de devenir actrice. Je suis certaine de ne jamais plus utiliser Instagram sur mon téléphone. » Et de poursuivre : « Je ne ressemble pas à ces photos photoshopées. »
Sahar Tabar : sortie de prison, elle dévoile son vrai visage
D’autant que la jeune iranienne de 19 ans n’a jamais voulu ressembler à Angelina Jolie. Rapidement, ce sont les médias qui ont détourné son projet, rédigeant des articles pas toujours très bienveillants à son sujet.
Au départ, Sahar Tabar souhaitait ressembler au personnage d’Emilie dans le film d’animation Les noces funèbres de Tim Burton. Elle n’avait pas imaginé une seule seconde que ses photos prendraient une telle ampleur. « J’ai vu que les gens suivaient ce que je faisais et que mon nombre de likes augmentait. Je pensais bien faire.«