Camélia Jordana revient sur la polémique autour de ses propos sur les violences policières
Il y a quelques jours, Camélia Jordana était invitée sur la chaîne radio Europe 1. Questionnée sur la polémique autour de ses propos sur les violences policières, la jeune femme a tenu à s’expliquer.
Elle disait alors : « Ayant passé mon confinement de manière très privilégiée chez des amis à Biarritz, au soleil près de la mer. Et n’ayant que pour seul contact avec Paris et l’Île de France, mon téléphone et donc les vidéos, j’ai vu ce qu’il se passait avec beaucoup de flics… Je ne suis pas contre la police, je suis contre la mauvaise police et il y en a, on l’a vu avec tous ces groupes Facebook… »
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Avant d’ajouter qu’elle ne regrette rien à tout cette histoire. Elle disait à ce propos : « Oui mais ça, ce n’est pas grave. C’est un peu comme quand il y a #MeToo qui arrive et que l’on va parler des quelques cas de femmes fabulatrices qui vont inventer des choses… C’est pas grave, quand il y a une parole qui est dite, il y a forcément des choses qui ne vont pas dans le sens de ce que je dis qui se passent… Ça permet à certaines personnes de s’éduquer et de se poser des questions… Si y’a une prise de conscience et que ça ouvre le débat, moi je suis ravie j’ai gagné. »
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Brigitte Bardot, très en colère contre le gouvernement
Ce 7 juillet, Brigitte Bardot était l’invitée de Sud Radio. Et elle n’a pas hésité à se livrer. Elle parle alors les questions de sécurité et de violence en France. L’actrice de 85 ans se lâche alors et donne son avis le plus honnête quant aux mesures prises par le gouvernement.
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Elle disait alors avec beaucoup de mépris : « Je suis épouvantée, je suis écœurée. Je trouve qu’on est gouvernés par des lâches ! Vraiment soumis à une partie de la France qui maintenant n’appartient plus à la France. C’est scandaleux d’agir comme ça de la part d’un gouvernement. Moi, j’en ai marre et plus que marre ! Il y a des moments où j’ai envie de quitter la France tellement c’est devenu dégueulasse ! Ils doivent assurer la sécurité de la population, quoi qu’il arrive. »
Avant de se lancer sur le sujet des quartiers où les personne n’arrive plus à accéder du fait de la violence. Elle exprimait alors sa colère : « Maintenant, c’est tout juste si on nous fout pas dehors avec un coup de pied dans le c** ! En tout cas, c’est ce qui va arriver. On est gouvernés par des lâches, des soumis, des sans c***lles. »
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