Brigitte Macron vict*me d’une rumeur transphobe
Voilà plusieurs semaines que Brigitte Macron est la cible d’une campagne de cyber-harcèlement. Durant celle-ci, une information à son sujet a fait le tour de la toile : celle qui se serait appropriée un cadeau d’Emmanuel Macron serait en fait une femme transgenre, dont le prénom de naissance serait Jean-Michel Trogneux. En réalité, cela n’est autre que le frère aîné de Brigitte Macron.
« Evidemment c’est un mensonge. Mais bon, une fois que j’ai dit ça, je n’ai rien dit », a-t-elle affirmé début Janvier sur le journal de 13h de TF1. Avant de confier à Jacques Legros qu’elle allait porter plainte. Quand bien même la démarche est « un petit peu longue » dans le cadre d’attaques en ligne, la Première Dame est préparée. « Il faut les captures d’écran, l’intégralité des propos rapportés, c’est un peu long. Il y a ceux qui émettent, ceux qui relaient, ceux qui hébergent, il faut ratisser large. J’ai mis cinq jours et demi avec des avocats rompus à l’exercice. Imaginez-vous si ça arrive à d’autres personnes, comment font-elles ? », a ajouté Brigitte Macron.
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Brigitte Macron saisit la justice
Cette fois, Brigitte Macron (qui prend toujours la défense de son époux) touche au but car elle aurait porté plainte contre deux femmes. En effet, comme l’a publié l’AFP ce vendredi 18 février, l’avocat de Brigitte Macron a assigné ces deux femmes en justice devant le tribunal judiciaire de Paris. Ces dernières se présenteraient comme “médium” et “journaliste indépendante” et auraient été les principaux vecteurs de cette affaire. Et pour cause, elles n’ont pas hésité à relayer cette rumeur transphobe. Par ailleurs, elles avaient diffusé sur la chaîne YouTube de la « médium », le 10 décembre, des photos de Brigitte Macron et de sa famille.
D’après nos confrères de la chaîne M6, Brigitte Macron est soutenue par ses proches. Ainsi, ses enfants ainsi que son frère se sont joints à cette procédure civile. Tous ensemble, ils ont déposé plaintes pour « des faits d’atteinte à la vie privée, au droit de la personnalité et violation au droit à l’image ». L’audience est d’ores et déjà fixée au 15 juin 2022. Elle aura lieu devant la 17ème chambre du tribunal de Paris, comme l’a précisé une source judiciaire au journal Le Monde.