Depuis juillet 2023, Aurore Bergé est Ministre sous la présidence d’Emmanuel Macron, apparu seul sans Brigitte pour les commémorations du 11 novembre. Celui dont la belle-fille a rejoint l’équipe de TPMP a d’abord vu Aurore Bergé nommée Ministre des solidarités et des familles sous le gouvernement Borne.
À présent, Emmanuel Macron, qui souhaite apparaître dans Emily in Paris, peut compter sur la Ministre afin de représenter l’égalité homme femmes. Et ce, depuis janvier 2024, sous le gouvernement Attal. Après une pause de deux mois sous le gouvernement Barnier, la voici de retour sous le gouvernement Bayrou avec des mesures bien précises en tête concernant l’éducation à la sexualité.
Aurore Bergé veut faire bouger les lignes
De nouveau au pouvoir en tant que Ministre chargée de l’Égalité entre les femmes et les hommes et de la lutte contre les Discriminations, Aurore Bergé entend bien faire bouger les choses. Notamment en termes d’éducation à la sexualité. Et ce, dès le plus jeune âge. Un projet qu’elle avait déjà débuté sous le gouvernement Attal, avant d’être stoppée suite à sa non-retenue dans le gouvernement Barnier. À présent, elle peut reprendre son « combat », comme elle l’a confié sur les ondes de nos confrères de RTL
« J’ai toujours dit […] qu’on avait une nécessité absolue d’avoir une éducation à la vie affective et à la sexualité dès le plus jeune âge« , a fait savoir Aurore Bergé dans un premier temps. « En fonction de la maturité des enfants, on n’aborde pas les mêmes choses à la maternelle et au lycée, pour des raisons évidentes. Mais dès la maternelle, on peut expliquer à nos tout-petits enfants que personne n’a le droit de toucher leur corps, que personne n’a le droit de leur faire du mal », a-t-elle ensuite expliqué.
Nouvelles mesures sur l’éducation à la sexualité
Des propos forts de sens qui résonnent davantage après l’annulation de son premier programme d’éducation à la vie affective, relationnelle et sexuelle (Evars), en raison de la censure du gouvernement Barnier. Aujourd’hui, Aurore Bergé peut reprendre sa lutte, plus forte que jamais. Et ce, afin que les enfants sachent dès le plus jeune âge « ce que veut dire dire oui, ce que veut dire dire non ».
« Ça, c’est une nécessité absolue quand on parle du consentement, ça veut dire apprendre le respect, ça veut dire apprendre l’égalité, l’égalité entre les filles et les garçons », a également tenu à préciser Aurore Bergé avant de conclure que « le respect vis-à-vis de toutes les familles qui existent dans notre pays tout simplement, qu’elles soient hétérosexuelles, qu’elles soient homoparentales, et ça, c’est une nécessité encore une fois ».