Jonathann Daval : sa mère lui a apporté quelque chose en pris*n…
Le 17 novembre 2022 esr sorti Moi, maman de Jonathann Daval aux éditions Michalon, un ouvrage de Martine Henry, la mère de Jonathann Daval, pour qui le temps s’est arrêté depuis le me*rtre d’Alexia par son fils il y a près de cinq ans au domicile conjugal de Gray-la-Ville en Haute-Saône. Interviewée par nos confrères de Sept à huit à l’occasion de la sortie de son livre, elle a accepté de revenir sur cette rumeur concernant l’homosexualité prétendue de son fils. « Dans votre livre, vous évoquez aussi cette rumeur selon laquelle, en pris*n, il aurait une relation amoureuse avec un co-détenu. Vous n’y croyez pas ? », a demandé Audrey Crespo-Mara à la mère de Jonathann Daval.
Martine Henry a alors répondu : « Non même pas, parce que c’est des racontars ça. C’est moi qui lui ai appris en plus ! Parce que je l’ai vu à la télé avant d’aller le voir. Ça m’a choqué, je me suis dit : ‘mais qu’est-ce qu’ils racontent ? Ce n’est pas possible’ ». Puis, celle qui a décidé de prendre la défense de son fils a partagé la réaction de ce dernier : « Il m’a dit : ‘c’est du grand n’importe quoi.’ » La mère du détenu a assuré avoir dit à son fils : « Si c’est vrai, ne te gêne pas, dis-le on ne t’aimera pas moins pour autant. » Mais il aurait campé sur ses positions : « Non non non, je ne suis pas comme ça ». Quelques semaines auparavant, elle avait déjà démenti cette rumeur.
Sur le même sujet
Voir cette publication sur Instagram
.. mais elle a enfreint le règlement !
Face à la journaliste de Sept à Huit, cette mère de famille a affirmé que son amour était toujours intact pour son fils malgré le meu*rtre d’Alexia. Et ce, malgré le chagrin : « Je n’ai jamais eu à l’esprit de rejeter mon fils, on a mis des enfants au monde, je l’ai porté 9 mois dans mon ventre. Je ne cautionne pas ce qu’il a fait mais on ne peut pas renier son enfant, je l’aime toujours ».
Dans son livre, Martine Henry multiplie les confidences. Elle admet même ne pas avoir respecté le règlement de la pris*n. « La seule chose que j’ai fait entrer – on n’a pas le droit, mais je le dis quand même, par honnêteté – c’est une pastille Vichy », a-t-elle avoué. Avant de poursuivre : « Jonathann adore ça et, bien sûr, il n’y en a pas en pris*n ! J’espère que ça ne lui causera pas de problèmes que je le dise, mais c’était ponctuel. Il était vraiment content. Dans ces moments-là, il a sa bouille d’enfant« .