Un tragique décès dans une école élémentaire
C’est une tragique histoire qui a eu lieu à l’école élémentaire Robert-Desnos de Saint-Denis-Lanneray en Eure-et-Loir. Le drame se déroule ce Vendredi 25 juin, une petite fille est décédée d’un ar*êt cardiaque alors qu’elle se trouvait à l’école pour une journée des plus banales. La fillette de CM2 aurait fait une crise cardiaque dans l’enceinte de l’école peu après le début des classes, vers 9h15 du matin. Selon nos confrères de l’Écho Républicain, la petite aurait très vite été prise en charge par les secours, mais malgré leurs diverses tentatives afin de la réanimer, elle serait décédée à l’hôpital très peu de temps après.
Très vite après le début du drame, les élèves de l’école ont été réunis dans le gymnase, leurs parents ont ensuite été contactés afin qu’ils viennent les récupérer. Selon le personnel de l’établissement, ces derniers n’ont pas assisté à la scène tragique. Cependant, l’établissement a tenu à rappeler aux parents que leurs enfants auront tout de même besoin d’un environnement sain, et notamment durant le week-end du drame. « Les enseignants ont prévenu les parents par SMS que les élèves avaient besoin d’« un cadre calme et sécurisant » expliquait alors la directrice académique des services de l’Éducation nationale d’Eure-et-Loire.
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La gendarmerie annonce une enquête
La reprise des cours s’est faite normalement ce lundi 28 juin, et la gendarmerie a annoncé une enquête afin de mettre en lumière les circonstances du drame ainsi que d’éventuelles responsabilités. L’établissement a d’ailleurs mis en place une cellule d’écoute, ouverte à tous les élèves ainsi qu’au corps enseignant de l’établissement. Cette cellule permettra le suivi psychologique de ceux qui désirent y faire appel, il s’agira ainsi d’aider les personnes traumatisées par l’évènement à dépasser e drame.
« Cet événement exceptionnel et douloureux a bouleversé la famille, le corps enseignant et les élève » déclarait en autres la directrice académique. Afin de soutenir la famille de la victi*me, l’école a décidé de mettre en place plusieurs cahiers à la disposition des parents d’élèves mais aussi des camarades de la fillette décédée, pour y noter leurs messages de soutien. Il faut croire que les écoles au lendemain de la crise Covid ne sont pas en reste quand il s’agit d’histoires dramatiques. Nous nous rappelons par exemple l’histoire de cette professeur de primaire qui s’est faite frapper par des parents dans l’Aisne.
