Une Knacki Ball met un enfant en danger
Sur le même sujet
Mais, cette fois, c’est une autre enfant qui nous interpelle…
En effet, c’est en 2012 à Lyon, que la petite Mayline s’étouffait en mangeant une mini-saucisse ronde « Knacki Ball », fabriquée par la société Herta. Fort heureusement, elle avait survécu après avoir fait plusieurs arrêts cardiorespiratoires. Mais aussi après avoir un coma dans lequel on l’a poussée.
Cependant, Le Parisien explique que Mayline souffre à ce jour d’importantes séquelles.
Articles les plus consultés
Top 10 du jour
Découvrez les articles du moment
-
Enlèvement de Santiago : cette décision coup de tonnerre de la justice, la mère du nourrisson s’en sort miraculeusement
-
"On ne vit plus..." : Paga et Giuseppa en crise ? Ces confidences qui en disent long !
-
L'argent de poche, un outil éducatif : à quel âge commencer et combien donner selon les recommandations des experts.
-
Squid Game : la saison 3 de la célèbre série sera la dernière et on sait pourquoi !
-
"95 euros par…" : découvrez le salaire mirobolant de Cyril Hanouna révélé par erreur en direct sur TPMP !
-
Magali Berdah : elle annonce son grand retour et se fait dézinguer sur la Toile, regardez !
-
"J'ai un peu..." : sur le point d'accoucher de son premier enfant, Nadège Lacroix dévoile une information capitale !
-
Maeva Ghennam : soupçonnée d'avoir secrètement séjourné en prison à Dubaï, elle dit toute la vérité !
-
Kendji Girac : cette transformation physique qui a éveillé les soupçons de certains sur sa consommation d'alcool !
-
Viols de Mazan : cette terrible phrase qu’aurait lancé Dominique Pelicot à un co-accusé, "si elle bouge…"
Et, c’est seulement le 15 mai dernier que la cour d’appel de Paris a confirmé le jugement en civil du tribunal de grande instance de Paris. En 2016, il reconnaissait « Herta entièrement responsable des conséquences préjudiciables de l’accident. »
L’entreprise avait ainsi été condamnée à verser 150 000 euros à titre de provision à la famille. Mais, cette somme sera à nouveau examinée le 9 octobre prochain.
Le PDG de la marque, Arnaud De Belloy a confié « compatir vis-à-vis de la famille. »
Mais, ce n’est pas tout ! Car, il a tenu à ajouter par la suite : « Nous allons tenir compte du jugement pour améliorer l’étiquetage. Nous allons dramatiser l’avertissement. Ce produit peut être dangereux pour les enfants de moins de 4 ans. Il y aura une mention directe sur le risque possible d’étouffement. »
On espère que ce genre d’incident ne se reproduira plus…