Jazz et Laurent : en pleine tourmente !
Cela fait plusieurs semaines à présent que la JLC Family est pointée du doigt. Et ce, notamment à cause de leur perte de revenus. Cela a débuté le jour où Snapchat a décidé de suspendre leurs comptes. D’ailleurs, selon certains blogueurs c’est pour cela que Magali Berdah ne voulait plus d’eux dans son agence. Sauf que toutes ces rumeurs seraient infondées selon Jazz. Cette dernière confirme la perte d’une partie de leurs revenus, mais selon elle tout va bien pour eux ! Si le couple montre un train de vie moins luxueux, c’est uniquement pour satisfaire ceux qui leur reprochent de trop en montrer.
C’est en tout cas ce qu’elle a confié à ses abonnés lors d’une de ses prises de parole. Cette fois, c’est Jazz elle-même qui a pris la parole, ne supportant plus de voir autant de rumeurs circuler à ce sujet. Selon la jeune maman, beaucoup lui ont reproché de trop exposer son argent, son train de vie. « Avec le temps, j’ai compris que c’était indécent pour une personne qui n’était pas dans le mood ou vit une période difficile », a-t-elle commencé. Avec son époux, ils ont alors pris la décision d’être plus discrets : « Aujourd’hui on est plus softs et maintenant on dit qu’on est ruinés (…). Aujourd’hui, on gagne beaucoup beaucoup moins d’argent sans Snapchat. Mais notre richesse ne se base pas sur ce qu’on gagne tous les mois ! ».
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Des témoignages accablants au sujet de Jazz et Laurent
Jazz et Laurent sont des entrepreneurs avertis et depuis quelques temps ils ont même acheté un Yacht. Le but ? En fait un des lieux les plus en vus des nuits dubaïotes. Si le rendez-vous semble être au succès, ceux qui travaillent pour le couple semblent s’en plaindre. Et pour cause, ils auraient exploité et licencié une partie de leur personnel.
C’est en tout cas ce que raconte le témoignage d’une internautes. Cette dernière a contacté un blogueur @fakeinfluenceurs pour se plaindre des conditions de travail au Billionaire Yacht. « J’ai travaillé des soirées complètes (19h-4h), non stop, aucun contrat n’a été établi. La manager m’a dit qu’à Dubaï on pouvait travailler sans contrat, ce qui m’a fortement étonné. Je continuais à bosser car je me disais c’est Jazz ma boss, elle va pas nous arnaquer. La deuxième semaine on a tous été virés comme des m**des et pas payés !! Sous prétexte qu’à Dubaï qu’il faut travailler au minimum un mois pour avoir un salaire », a balancé cette personne. Pour le moment ni Jazz ni Laurent n’ont réagi à ces accusations.
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