Maeva Ghennam : harcelée à Monaco, elle adresse un tacle à ses détracteurs

Maeva saisit la justice à cause d’un internaute qui est allé trop loin

C’est après la publication de son adresse que la belle a décidé de prendre la parole. Installée depuis le début du confinement dans sa nouvelle villa à Marseille, Maeva a vu son adresse dévoilée sur internet par un compte anonyme. 

Elle prenait alors la parole pour témoigner sa colère face à ses abonnés: « Il y a un c****** qui a fait un compte, que je ne partagerai pas, où il montre les maisons de stars. Et il a mis ma maison. Je veux bien qu’il mette celle de Beyoncé ou Kim Kardashian, mais pas la mienne. Ma maison, je l’ai achetée. J’habite dans une résidence qui est sécurisée et je ne veux pas que tout le monde sache où j’habite. »

Celle qui révélait ses secrets minceur annonçait ensuite entamer des poursuites judiciaires conte le ou les coupables : « Donc j’étais au téléphone avec mon avocate pour supprimer le compte, mais pas que ! J’engage des poursuites judiciaires et je vais bien lui montrer que c’est interdit de faire ça. Mon avocate va s’occuper de toi. C’est très interdit de faire ça ! Mais franchement, vous êtes cinglés de faire ça, mais vous vous rendez pas compte ! Il y a une peine de prison pour ça ! Et celui ou celle qui a fait ça, sur la vie de ma mère, je vais tout faire pour qu’il aille en prison. Parce que c’est interdit, et au-delà de ça c’est dangereux. »

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Maeva, harcelée à son hôtel, elle répond à ses détracteurs

Depuis ce Mercredi 6 Mai, la belle Marseillaise est à Monaco. Elle est partie rejoindre son agent, Magali Berdah, avec son ami Akram.

Mais le voyage n’est pas vraiment de tout repos pour la belle. En effet, elle a été victime de harcèlement à son hôtel depuis son arrivée sur les lieux. Elle a donc décidé de s’exprimer sur les réseaux afin de menacer les coupables. Et elle a l’air très énervée. Elle dit : « Là, je ne rigole vraiment pas avec vous. Je veux bien que certaines personnes sympathiques soient venues devant l’hôtel pour faire des photos. Même dans Monaco, j’ai fait des photos en respectant la distance de sécurité. Mais qu’on appelle dans ma chambre… sur la tête de ma mère je ne rigole pas avec vous ». 

Et elle compte bien prendre les choses en main si quelqu’un décide de revenir : « Si on me rappelle, Akram et moi on va descendre en cachette et on va vous taper. On ne rigole pas. Arrêtez« . 

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