Les causes du décès de Justine Vayrac dévoilées
Lucas L et Justine Vayrac s’étaient croisés à la sortie de la boîte de nuit «La Charrette», à Brive-la-Gaillarde dans la nuit du 22 au 23 octobre. Ayant la nausée, Justine Vayrac était sortie prendre l’air lorsqu’elle a rencontré Lucas L., qu’elle connaissait déjà. Le principal suspect a alors dit à Théo, un ami de la vict*me, qu’il s’occuperait de la jeune femme.
«Ne t’inquiète pas, je m’occupe d’elle. Tu peux retourner dans la boîte», avait-il déclaré à Théo, comme celui-ci l’a relaté au Figaro. Cependant, en sortant de l’établissement, Théo n’a pas retrouvé son amie. Il a supposé qu’elle était alors partie avec Lucas. Mais, ce dernier a affirmé par message que la jeune femme n’était pas avec lui. Le corps de la jeune femme a finalement été retrouvé près du domicile du jeune agriculteur qui aurait dissimulé le corps à l’aide d’un engin agricole.
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L’autopsie a révélé les causes de sa m*rt
Le jeudi 27 octobre, lors de sa garde à vue, Lucas L. a alors avoué avoir t*é la jeune fille de 20 ans. Il a été mis en examen et incarcéré pour me*rtre, séquestr*tion et vi*l. Des traces de sang ont été découvertes dans sa chambre et sa voiture.« Une information judiciaire a été ouverte des chefs de viol, séquestration sans libération volontaire avant le 7e jour et me*rtre précédé, accompagné ou suivi d’un autre crime. La peine encourue est la réclusion criminelle à perpétuité », avait déclaré le procureur de Limoges, Baptiste Porcher.
Si le principal suspect n’a avoué qu’un seul « coup de poing, ce qui aurait occasionné le décès », l’aut*psie du corps de Justine vient d’en révéler les causes exactes. En effet, ce lundi 31 octobre, l’AFP a dévoilé que l’aut*psie révélait que la jeune maman a reçu des coups avant d’être étranglée. Les résultats des analyses destinées à savoir si la vict*me a été droguée ne sont pas encore connus. Cette autopsie était très attendue à la suite des déclarations du jeune homme qui avait assuré n’avoir l’avoir frappée qu’à une seule reprise, après un rapport sexuel consenti. Par ailleurs, nous vous disions que les parents de la jeune femme étaient ‘écrasés par le chagrin’.