Les 30 candidates à l’élection Miss France ont posé le pied sur le sol guyanais le dimanche 19 novembre, marquant ainsi le début de leur séjour de dix jours sur le territoire. Elles ont été accueillies chaleureusement par Miss France 2017, Alicia Aylies. Elles ont d’ailleurs vécu une experience durant laquelle elle ne peuvent plus se doucher.
Cette préparation en Guyane constitue une étape cruciale pour les candidates, marquée par la réalisation de portraits et la participation à des master classes. Cindy Fabre, directrice du concours Miss France, explique ainsi : « Ce sont des moments qui resteront gravés à jamais dans leurs vies. » Elle tient toutefois à rappeler que leur objectif principal reste la préparation intensive en vue l’élection qui se tiendra à Dijon le 16 décembre.
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Une nouveauté pour le test de culture générale de Miss France
Le test de culture générale demeure une étape incontournable pour les prétendantes au titre de Miss France. Elles sont soumises à une batterie de questions couvrant des domaines aussi divers que l’actualité, la géographie, les mathématiques, l’art, et l’anglais. Les 30 candidates pour Miss France 2024 ont affronté ce redoutable questionnaire, mettant ainsi leurs connaissances à l’épreuve. L’an dernier, Miss Normandie avait brillé en obtenant la meilleure note, un remarquable 17,5/20.
Cette année, une nouveauté a été introduite : une dictée. La directrice du concours, Cindy Fabre, justifie cette inclusion en soulignant l’importance de l’orthographe dans le rôle de Miss France. Lors des déplacements, les Miss sont fréquemment sollicitées pour laisser une trace écrite. Il est donc impératif que leur écriture soit lisible et exempte de fautes, un aspect que le test de dictée vise à renforcer.
Les candidates déstabilisées par le test
Nos confrères de Télé Loisirs ont notamment rapporté le témoignage de plusieurs Miss suite au test. Sonia Coutant, Miss Franche-Comté en titre, a pris soin de ne pas modifier ses réponses à la dernière minute. Elle est convaincue d’avoir donné le meilleur d’elle-même. Le jeune femme estime toutefois que ses révisions ne lui ont pas été d’une grande utilité.« Mais je me suis rendu compte que mes révisions n’avaient servi à rien, c’était tellement vaste ! »
Elle n’est pas la seule. « Je trouve qu’on était à côté de la plaque dans nos révisions ! On s’attendait à une question sur un ministre et il n’y en a aucune qui est tombée », rapporte Noa Dutitre, Miss Champagne-Ardenne et fille d’un célèbre footballeur. Maxime Teissier, Miss Languedoc, anticipe qu’elle ne figurera pas parmi les trois premières. Elle pointe notamment du doigt les trois questions sur le Code de la route qui l’ont déstabilisée.
J’ai le permis espagnol et là-bas, il n’y a pas de priorité à droite, donc je n’ai pas répondu. J’ai écrit « pas de priorité à droite en Espagne »