Nordahl Lelandais fait de nouveau parler de lui
Le lundi 3 Mai, le procès de Nordahl Lelandais pour le me*rtre d’Arthur Lenoyer avait débuté. Et très vite, les témoignages glaçants de ceux qui ont eu le malheur de croiser sa route se sont enchaînés… Ainsi, Virginie, une de ses ex compagnes a fait part de son expérience : « C’est un souvenir très traumatisant. Il ne supporte pas l’échec, que l’on soit plus forte que lui, qu’on lui tienne tête. (…) Il a besoin de déchaîner cette puissance et cette colère. J’ai subi des insultes, des menaces, des agressions ».
En effet, après l’avoir quitté, elle a été confrontée au pire visage du tueur… « Je vais te faire bouffer le carrelage. Te tu*r, te jeter depuis la Dent du Chat (une montagne savoyarde, ndlr) », lui a-t-il asséné entre autres menaces terribles. Après cette semaine de procès, la cour d’assises de Savoie a condamné le 11 mai 2021, Nordahl Lelandais à 20 ans de réclusion crim*nelle. Depuis, il est est incarcéré à la pris*n de Saint-Quentin-Fallavier en Isère.
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Le détenu surpris avec un objet dans sa cellule
Selon nos confrères du Dauphiné Libéré, Nordahl Lelandais a été retrouvé ce lundi 6 décembre en possession d’un objet interdit en pris*n. En effet, alors que le personnel a organisé une fouille par surprise de sa cellule. Et ils sont tombés sur cet objet qu’il cachait entres les différentes couvertures de son lit.
Il s’agissait alors d’un téléphone portable, allumé et équipé d’une carte SIM. Le personnel l’a saisi et remis aux enquêteurs dans le cadre d’une investigation pour « recel », comme on peut le lire dans le Dauphiné Libéré. Ce que vont tenter de savoir ces derniers c’est : pourquoi et comment Nordahl Lelandais a réussi à avoir cet appareil. Mais surtout, avec qui il communiquait à l’extérieur. Le détenu a par la suite été placé à l’isolement au sein de la pris*n.
Le 3 janvier prochain et jusqu’au 11 février, Nordal Lelandais comparaîtra de nouveaux aux Assises pour le me*rtre de Maëlys de Araujo, disparue lors d’un mariage dans la nuit du 26 au 27 août 2017. Il avait avoué le me*rtre de la fillette avant de mener les enquêteurs vers ses ossements. Il est également renvoyé pour des « délits d’agress*ons sexu*lles sur deux cousines (…) mineures de 15 ans et pour détention et enregistrement d’images pédo-pornographiques. ».