Il s’échappe de prison avec un bout de fil de fer

Nous vous parlions aussi de l’affaire de Robert Knepper, acteur phare de la série Prison Break, qui aurait agressé sexuellement une de ses costumières. 

Un bout de fil de fer:

L’histoire se passe en France, et elle ferait rougir l’administration carcérale.

Depuis un moment, une vidéo fait le tour du net! Elle montre un détenu réussissant à ouvrir la porte d’une autre cellule…avec un petit bout de fil de fer.

En effet, ce dernier a réussi en l’espace de quelques secondes à crocheter une serrure, sous les rires de ses amis. Il réussit alors à ouvrir la porte afin de laisse sortir son ami. La vidéo est d’ailleurs filmée par l’un des détenus. On se demande où se trouvaient les gardiens. Les faits se passent dans la maison d’arrêt d’Osny. 

Ce n’est pas nouveau:

Cette histoire arrive comme un coup de pied dans le nez des autorités qui commencent à vraiment s’inquiéter.

En sortant de sa cellule, le prisonnier lance  »c’est la liberté » en riant. Une façon pour lui de montrer sa supériorité face aux conditions de détention dans les prisons françaises. Il retourne cependant très vite dans sa cellule et referme la porte derrière lui. Son ami crochetera alors la porte une deuxième fois derrière lui afin de la sceller.

Bien que la prison ait été vite identifiée et les détenus reconnus, une autre vidéo fait le tour du web dernièrement. Et dans ce cas précis, c’est beaucoup plus compliqué. On ne voit pas de visages et il n’y a aucun indice sur le lieu où se passent les faits.

La sécurité dans les prisons en France une vraie question aujourd’hui. Plusieurs incidents se sont passés dernièrement, tels que l’agression d’un gardien, qui inquiète énormément l’Administration carcérale. Le coupable de ce méfait aurait tenté de voler les clefs afin de s’enfuir.

Le personnel de la prison de Saint-Aubin-Routot se seraient d’ailleurs plaints d’un manque d’effectifs et d’un surplus de travail pour les gardiens. Selon un secrétaire locale de la prison, les faits sont là et témoignent d’une « dégradation plus que fulgurante de l’état de santé psychologique et physique des personnels».