Amandine Pellissard s’est forgée une réputation grâce à sa spontanéité et son franc-parler bien affirmé. Si sa reconversion dans l’industrie pour adultes a suscité des critiques, la jeune femme n’hésite pas à assumer pleinement ses choix, repoussant les limites en se dévoilant dans des tenues ultra-hot. Récemment, elle a partagé des conflits notables avec le propriétaire de sa maison. Ces tensions pourraient bien pousser les Pellissard à envisager un départ de la France.
En outre, dans le dernier épisode de Baby Story animé par Jeremstar, Amandine Pellissard, ancienne candidate de Familles nombreuses, la vie en XXL sur TF1, s’est livrée sans retenue, dévoilant des pans de son passé avec sa sincérité habituelle. Au-delà des révélations sur un avortement antérieur, l’épouse d’Alexandre a courageusement évoqué son passé de toxicomane durant sa jeunesse, un chapitre aux conséquences durables jusqu’à aujourd’hui.
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Amandine Pellissard se livre sur son passé
À l’âge de seulement 16 ou 17 ans, Amandine Pellissard s’est retrouvée prise dans l’engrenage de la consommation de drogues, largement influencée par des fréquentations malavisées. En l’occurrence, sa mère consommait par exemple de l’héroïne. Sa vie a pris un tournant décisif lorsqu’elle a découvert sa grossesse de son fils, Léo, la poussant à rompre avec le cycle destructeur. Malheureusement, une rechute s’est produite lorsque son fils aîné avait seulement 8 mois, la conduisant sur le chemin d’une hospitalisation psychiatrique.
La jolie blonde avoue que c’était une expérience traumatisante déclenchée par une consommation excessive de LSD l’amenant au bord du gouffre. Malgré des années de sobriété, Amandine Pellissard fait face aux séquelles de ses choix passés à travers un traitement quotidien à la méthadone, un substitut destiné aux anciens toxicomanes pour pallier le manque d’héroïne. « C’est considéré comme un stupéfiant. C’est comme de la morphine », a précisé la mère résiliente. Les conséquences se sont étendues à ses grossesses, la méthadone traversant en effet la barrière placentaire, nécessitant donc une surveillance étroite.
La méthadone, un traitement à vie
Lors de sa dernière grossesse, elle a dû affronter le défi d’accoucher à seulement cinq mois et demi. Amandine Pellissard a partagé son anxiété face aux symptômes de sevrage potentiels chez les nouveau-nés, mais a assuré que sa benjamine, Maéna, en est sortie indemne. Dans une tentative courageuse de rompre avec le traitement, Amandine Pellissard a interrompu brusquement sa prise de méthadone. Cependant, les conséquences ont été rapides et sévères.
Décrivant cela comme une « grosse erreur », elle a raconté des convulsions et une débilité physique totale. L’épreuve a atteint un point où elle ne pouvait plus porter son bébé. Ainsi, une réalité frappante l’a saisie : c’était un combat qu’elle ne pouvait se permettre de perdre. Le récit captivant s’est déroulé avec la révélation d’une perte de poids drastique, près de 10 kilogrammes, soulignant la gravité de la situation. Finalement, Amandine a dû se résigner à reprendre la méthadone, reconnaissant que c’était un engagement qu’elle pourrait porter toute sa vie.