Thomas Markle révèle le conflit entre lui et Meghan
Quelques semaines avant la parution du livre documentaire « Finding Freedom, » qui retrace la vie de la duchesse de Sussex, le père de celle-ci, ainsi que son demi-frère ont pris la parole. afin de se livrer. Et il semblerait que le livre ne fasse pas du tout honneur au papa de Meghan Markle. Nous vous parlions aussi il y a peu de ces surnoms moqueurs que lui donnaient certains membres de la famille royale.
Son demi-frère avait alors avoué : « Il ne lui fait pas confiance. Et ne veut plus fréquenter cette personne à cause des mensonges, de la manipulation et de la tromperie. » Et rajoutait par ailleurs : « Il vaut mieux profiter de sa retraite et voyager. Et oublier complètement Meghan, il se battra et engagera les actions nécessaires pour voir Archie. Ils ne sont pas les seuls à pouvoir intenter une action en justice, il adorerait tenir ce petit garçon au moins une fois. »
Son papa avait lui aussi tenu à s’exprimer : « C’est le pire moment au monde pour eux de pleurnicher et de se plaindre de quoi que ce soit. Parce que les gens partout dans le monde souffrent à cause de la pandémie de coronavirus (…) J’adore ma fille. Mais je n’apprécie vraiment pas ce qu’elle est devenue en ce moment. »
Brigitte Bardot se livre sur sa relation conflictuelle avec son fils Thomas
Brigitte Bardot s’était déjà livrée il y a un an à nos confrères de l’Express sur sa vie de maman. Et ses révélations n’avaient pas manqué d’en étonner plus d’un. L’actrice avait alors avoué avoir eu recours à 2 avortements avant la naissance de son fils Nicolas en 1960. Ce dernier, installé aujourd’hui en Norvège n’a plus aucun contact avec sa mère. Brigitte s’était séparée du père de son fils, Jaques Charrier, peu avant l’arrivée au monde de Nicolas. Elle disait alors à son sujet : « Je m’en fous, je ne veux plus le voir.«
Et c’est pour le magasine Point de vue que la célébrité, qui adressait un tacle sévère il y a peu au gouvernement, a décidé de se livrer sur les raisons de leur relation conflictuelle. Il faut savoir que la naissance de Nicolas a été accompagnée d’un traumatisme qu’elle n’a jamais réussi à dépasser.« Quand Nicolas est né, en 1960, l’hystérie autour de moi. C’était de la folie. La chambre d’accouchement installée dans ma maison, les photographes derrière les fenêtres, ceux qui se déguisaient en médecins pour me surprendre. Il n’y avait aucune intimité. C’était terrible. J’ai associé la naissance de mon fils à ce traumatisme. Et c’est Nicolas qui en a porté les conséquences. » Expliquait-elle alors.
