Miss France : certaines candidates montent au créneau
En décembre dernier, Iris Mittenaere, ex-Miss France et ex-Miss Univers, a donné son avis bien tranché sur le concours. Avant elle, c’est Alexia Laroche-Joubert qui s’était exprimée : « Oui, il y a peut-être des critères qui peuvent sembler un peu dépassés, a ajouté la PDG d’Adventure Line Production. Peut-être que le mot ‘célibataire’ n’a pas été bien compris, […] qu’il faut le changer. Peut-être qu’on a été trop restrictif sur les tatouages aussi. Il faut qu’on en parle en priorité avec les comités, car c’est eux qui font la sélection dans les premières étapes. »
De son côté, Iris Mittenaere – qui a aussi donné son avis sur Diane Leyre – a affirmé qu’il avait des règles qui n’auraient pas lieu d’être, tels que le célibat obligatoire, l’interdiction des tatouages, une taille de 1,70m minimum…etc. Elle a déclaré : « Pour moi, il faudrait faire comme Miss Univers, abolir toutes les règles. Ce serait encore mieux. Laissons les gens choisir la Miss qu’ils veulent et pour les laisser choisir, il faudrait ne pas avoir de filtre dès le début des sélections. ». Et si ce concours semble magique d’un point de vue extérieur, il se pourrait que ce ne soit pas tellement le cas en coulisses.
Des candidates balancent sur les conditions de travail
En tout cas, c’est ce qu’on peut penser après les confidences des candidates dans les colonnes du Parisien, ce samedi 22 janvier. Selon les différentes Miss, les conditions seraient très dures. Certaines prétendantes auraient même « perdu jusqu’à six kilos« pendant la compétition. L’une d’elle a assuré qu’on ne leur donnait pas assez de nourriture : « On ne nous donnait clairement pas assez à manger ». Tant et si bien que certaines se seraient donc fait « livrer des plats en plus » !
Toujours selon ces jeunes femmes, elles auraient « enchaîné les chorégraphies de près de dix heures par jour« , et ce avant d’assister à des dîners de représentation. Puis, il fallait ajouter à cela « les prises de vues, les clips et les interviews », qui faisaient qu’elles ne se couchaient jamais avant minuit. Une source a confié au Parisien : « Avec le manque de sommeil, certaines filles ont eu des problèmes de tension ou sont tombées malades. Beaucoup craquent au moment des répétitions. On se disait entre filles qu’on devrait être payées du premier au dernier jour parce que sans nous, il n’y aurait pas de show ». Le comité apportera sûrement une réponse à toute cette affaire. Reste à savoir, si Diane Leyre (qui s’est confiée sur sa dernière histoire d’amour) prendra également la parole à ce sujet.