Enora Malagré : à 44 ans, elle se livre sans filtre sur ses addictions

Jusqu’en 2017, Enora Malagré était une chroniqueuse phare de l’émission Touche pas à mon poste sur C8. Près de sept ans et bons loyaux services lors desquels elle aura beaucoup appris. Récemment, elle s’est confiée sur sa relation avec Cyril Hanouna. Aujourd’hui, l’animatrice de 44 ans se consacre à de nombreux projets qui lui tiennent à cœur.

À commencer par son livre Un cri du ventre, paru en 2019, et qui relate son combat contre l’endométriose. Des douleurs chroniques à l’impossibilité de devenir maman, son ouvrage sonne comme une confession intime. En outre, celle qui n’a pas hésité à dire le fond de sa pensée au sujet des législatives n’a pas tardé à mettre le doigt sur un facteur aggravant.

Enora Malagré se livre sur ses addictions

Animatrice de radio et de télévision, chroniqueuse, actrice, écrivaine, mais aussi réalisatrice, Enora Malagré a plus d’une corde à son arc. À 44 ans, la jeune femme n’hésite pas à s’affirmer, coûte que coûte. Quelques années en arrière, elle s’était livrée sans filtre sur sa maladie, à savoir l’endométriose. Celle-ci se caractérise par le développement de muqueuse utérine en dehors de l’utérus. Par conséquent, cela engendre des douleurs chroniques, et davantage pendant les menstruations.

En outre, l’endométriose est responsable d’infertilité chez les femmes. C’est ce que vit Enora Malagré depuis des années maintenant. Dans son livre Un cri du cœur, elle révélait ses difficultés à tomber enceinte. Aujourd’hui, elle semble avoir tiré un trait sur la grossesse, malgré son désir de donner la vie. « À cause de cette maladie, je suis aujourd’hui obligée de prendre un traitement hormonal », a-t-elle fait savoir ce mercredi 11 décembre dans le documentaire Demain j’arrête le sucre, diffusé sur Canal + Doc.

L’animatrice accro à un produit bien précis

Contre toute attente, dans ce même reportage, Enora Malagré a révélé qu’elle avait une addiction au sucre. Et ce, comme beaucoup de personnes à travers le monde. « Je suis addict au sucre. J’en consomme trop et je n’arrive plus à m’en passer », a-t-elle avoué sans détour. Et malheureusement, dans son cas précis d’endométriose, le sucre peut s’avérer être un inflammatoire. Et cela, elle l’a appris sur le tard, une fois son addiction bien entamée.

« J‘ai appris avec stupéfaction que l’immense quantité de sucre que je consommais ne pouvait qu’aggraver les maladies inflammatoires dont l’endométriose. C’était un véritable choc pour moi », a réalisé Enora Malagré. Autant dire que son témoignage dans le documentaire de Canal + sonnait comme une évidence au vu de son parcours personnel très médiatisé. Une chose est sûre, elle est loin d’être la seule dans ce cas de figure. Espérons que cela fasse bouger les lignes.