‘J’ai pensé à me foutre une balle dans la tête’ : Benjamin Castaldi se confie sur ses envies suicidaires

Une célébrité souvent difficile à gérer

Après le tragique suicide de Miss USA 2019, Cyril Hanouna lui a dédié une chronique il y a peu. Iris Mittenaere s’était d’ailleurs exprimée, effondrée par cette perte. Il a été donc temps pour les chroniqueurs de parler de ce sujet très difficile à aborder afin d’éveiller les consciences collectives. Et il faut croire que la vie de célébrité n’est pas facile. Et ce n’est pas Benjamin Castaldi qui dira le contraire. Rappelez-vous ! Son fils Simon s’était retrouvé en plein coeur d’une histoire d’arnaque, et Benjamin Castaldi avait fait face à celui qui accuse son fils sur le plateau de TPMP.

« C’est quoi ces façons de faire, tu redescends deux secondes ! […] T’es vraiment un blaireau ! Vous êtes mal élevé. Ce que vous avait fait sur les réseaux, insulter son père, son grand-père, sa mère… Alors moi je vais appeler mon avocat car il y en a marre maintenant. » S’écrie-t’il. 

Avant de s’emporter un peu plus : « Monsieur, je ne suis pas mon fils. Donc vous insultez mon père, sa mère et moi, ça s’appelle ‘insultes publiques’, donc pour ça je vais porter plainte. Ensuite vous le menacez et vous me menacez donc pour ça aussi je vais porter plainte, maintenant vous allez arrêter de penser que les réseaux sociaux c’est un déversoir à m*erde et qu’on peut tout dire et tout faire, je vais vous apprendre la loi ! »

Benjamin Castaldi se confie sur ses envies suicidaires

Et pour cette chronique spéciale autour du suicide de Miss USA, Cyril Hanouna posait la question à ses chroniqueurs : « La pression est-elle trop forte quand on est une célébrité ? » Benjamin Castaldi décide ainsi de se confier : « J’ai vraiment pensé un jour me foutre une balle dans la tête, bien évidemment« ,explique-t’il. « Et on pense au pire » Mais heureusement pour l’animateur, l’amour de ses enfants est ce qui l’a fait tenir : « Je n’ai pas été au bout de ça, parce que j’ai des enfants et que c’est très égoïste. »

Il continue : « Et honnêtement, parfois la pression, elle est trop forte. Parfois, on se dit : ‘Où je vais ?’ (…) Tu n’as plus de boulot, tu es chez toi, on t’a pris ta maison. Tu te dis : ‘Ça devient un peu lourd.’ Et effectivement, on se dit : ‘À quoi bon continuer ?’ Après, on pense aux enfants et on se ravise et on met un bon coup de talon. Parfois, c’est long à remonter quand même.« 

Avant de finir : « Ca devient très compliqué à assumer et à vivre. Au sens à vivre et à supporter. Tu perds prise et dans ces moments-là, on pense au pire. J’ai de la chance. J’ai quand même eu des gens qui étaient là. Il y a deux, trois personnes qui étaient là. Et surtout on pense aux enfants, et on se dit : ‘Tu n’as pas le droit de faire ça, c’est trop facile‘ »