Un job qui a fait du mal à Kendji Girac
Il y a quelques jours, nous vous disions que Kendji Girac vivait toujours dans sa caravane. « Peu de gens imaginent que je vis encore comme ça mais c’est mon équilibre » confiait-il à nos confrères du Parisien. Avant d’ajouter :« Parfois je dors dans la maison, parfois dans la caravane. C’est un refuge dans lequel je me sens bien, et j’adore y entendre le bruit de la pluie qui me berce. C’est une chance d’avoir les deux. Et oui, je vis toujours comme un gitan. »
Car celui qui a été agressé par des hommes armés a tenté la vie citadine en louant un appartement en plein Paris. Chose qu’il n’a pas tellement aimé : « Il y a quelques années, j’en ai loué un pendant un mois et demi, rue de la Boétie. Je le payais 4.000 ou 5.000 euros par mois. J’y suis resté une semaine et je suis rentré ici. Il n’y a rien à faire, je n’y arrive pas. Ça m’a agacé, je me sentais seul, abandonné. Malgré les allers-retours qui me prennent du temps, c’est ici que je me sens le mieux. »
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Kendji Girac a failli perdre ses doigts
Autre confidence et non des moindres : Kendji Girac aurait pu ne jamais devenir chanteur. Il faut savoir qu’il a tout donné pour devenir l’artiste qu’il est aujourd’hui : « Je me mettais les CD des Gipsy King dans la voiture et j’apprenais pendant des heures et des heures jusqu’à en avoir des cloques sur les doigts. Je saignais même, des fois, des doigts. » Car oui, Kendji Girac (qui a adoré le confinement) est un autodidacte.
Mais l’un de ses jobs de jeunesse a failli l’empêcher d’utiliser ainsi ses mains. Et pour cause, plus jeune, le jeune homme a confié à Kombini avoir travaillé comme élagueur : « C’est vrai que j’ai failli perdre mes doigts plus d’une fois. J’ai coupé beaucoup d’arbres qui étaient dangereux, pas simplement pour le plaisir. Et du coup avec mon père, c’est vrai, avec des tronçonneuses, près du visage, avec des sécateurs pour couper des branches, et des fois la corde s’emmêlait dans les branches et on essayait de lever ce sécateur et là, le truc pouvait remonter et nous couper les doigts. » Fort heureusement, ce n’est pas arrivé !
Et vous, qu’en pensez-vous ?
