Léna Situations parle de ses débuts sur Youtube
Léna Mahfouf plus connue sous le nom de Léna Situations a fait ses débuts sur Youtube alors qu’elle n’avait que 16 ans. Six ans plus tard, l’influenceuse admet qu’elle était loin d’être authentique dans ses premières vidéos. « Dans mes premières vidéos, j’ai 16 ans, je mets un peignoir en soie, ça ne correspondait pas à la réalité. Alors j’ai laissé de côté la mise en scène, j’ai commencé à être spontanée. On était juste en vacances avec des copines, sans hélicoptère ni jet-ski. Mon challenge était de faire des montages dynamiques. Rajouter une touche d’humour et d’esthétisme, pour faire comprendre quel était le mood de la journée. J’aime que le montage ait l’air facile à faire, alors que j’y ai passé trente heures » a-t-elle révélée à l’AFP.
D’autant qu’il faut être bien armé pour faire face aux nombreuses critiques voire la haine de certains internautes. Dernièrement, la Youtubeuse Shera s’était exprimée sur le harcèlement qu’elle a subi. Ainsi, elle a expliqué les raisons pour laquelle ses proches n’apparaissaient que très peu dans ses vidéos. « On n’est pas forcément à l’aise face à la caméra, il faut se forger une carapace face aux critiques. L’humain n’est pas fait pour recevoir autant d’attention, autant d’amour ou de haine ! »
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Léna Situations parle de sa relation avec Seb La Frite
Et il y a un autre sujet sur lequel Léna Situations est longtemps restée discrète, c’est sa relation de couple. En effet, pendant longtemps la jeune femme a caché sa relation avec le Youtubeur Seb La Frite. Au-delà de préserver leur couple, ils avaient peur qu’on ne leur parle plus que de ça. « On avait trop peur d’être des clichés, et qu’on ne nous parle que de ça. »
Pourtant Léna Situations n’a pas peur de dire ce qu’elle pense. À l’instar d’Enjoy Phoenix, elle n’hésite pas à parler d’argent sur sa chaîne ou encore de dénoncer les standards de beauté. Elle n’a d’ailleurs pas de mal à parler de sa collaboration avec la marque de vêtements Jennyfer pour qui elle est désormais salariée. Une situation stable qui lui permet de contrebalancer son métier de créatrice de contenus. « Ça me permet d’avoir une source de revenus fixe, de cotiser pour la retraite et de ne pas être à la course aux vues sur les vidéos.«