Une polémique autour de ses propos sur le Covid-19
Depuis le début de la pandémie, un chanteur français a fait entendre sa voix ! « Il y a quelqu’un ? Ça choque personne dans vos bureaux ? Dans une grande surface, on peut acheter un magazine ou des mots croisés, l’étagère à côté, mais pas un CD ou un bouquin ? C’est interdit ? » cette tirade nous vient de Matt Pokora et est loin d’être isolée. En effet, il n’a pas tardé d’interpeller le gouvernement et le public face à ce qu’il considère comme des mesures injustes envers les artistes. D’ailleurs, il n’avait pas hésité à interpeller Macron qui lui a répondu !
Mais Matt Pokora a également poussé un coup de gueule contre les artistes qui n’ont pas pris position. « Je savais que j’évoluais dans un milieu d’égoïstes, mais là… » a-t-il balancé dans Télé 7 jours. « Je regrette que beaucoup d’artistes n’aient pas ouvert leur gueule, sûrement pas peur que ça abîme leur image. Ils ont dû se dire qu’on allait leur rétorquer qu’ils gagnaient beaucoup d’argent, etc. Sauf que là, il est question de se battre pour notre secteur, pas uniquement pour nos tournées ».
Matt Pokora s’explique
Il y a peu, Matt Pokora annonçait son grand retour en France avec sa petite famille ! Et ce 18 Juin il était l’invité de l’émission de Thomas Sotto sur RTL. Il en a alors profité pour s’expliquer sur la polémique qui a suivi ces propos sur la gestion de la pandémie. Tout d’abord, il a admis qu’il avait tendance à réagir à chaud. « C’est juste parce que j’ai comme habitude de réagir très vite quand les gens ne sont pas encore prêts à entendre ce genre de choses. » Matt Pokora ajoute également qu’il avait très peu d’informations sur le virus à cette époque.
Mais ce qui l’a poussé à parler avant tout, c’est le sentiment d’injustice qu’ont ressenti de nombreux artistes. « Quand je me suis plains, on voyait encore 40 000 personnes dans les stades et nous on nous disait ‘non’ parce qu’on était en extérieur. C’est toujours un peu délicat au début de s’exprimer là-dessus » Quoiqu’il en soit, Matt Pokora admet qu’il a peut-être parlé un peu trop vite.