Le 17 novembre 2024, Maeva Ghennam a lancé son premier parfum, Rouge Rogue, en collaboration avec Black Ants, au prix de 200 € pour 75 ml. Ce tarif a suscité une vive polémique sur les réseaux sociaux, jugé excessif par de nombreux internautes. Toutefois, Maeva a défendu son produit, affirmant qu’il s’agissait d’un parfum de luxe comparable à ceux de grandes marques. Cependant, des révélations ont alimenté les doutes sur ce projet : la marque Black Ants, partenaire de Maeva, aurait été créée un mois avant le lancement.
Ces informations ont renforcé les critiques concernant la qualité et le prix du produit. Maeva a ensuite affirmé que Rouge Rogue rencontrait un grand succès, mais ses déclarations ont été contestées sur le plateau de Sam Zirah, qui a affirmé que seulement 25 flacons auraient été vendus. Par ailleurs, l’influenceur Bastos a exprimé son mécontentement, déclarant qu’il n’avait pas encore reçu son parfum malgré sa commande. influ-voleurs ».
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Le nouveau projet de Maeva Ghennam au cœur d’accusations de plagiat
Depuis quelques semaines, Maeva Ghennam semble bien déterminée à diversifier ses activités ! Après avoir fait parler d’elle avec le lancement de son parfum Rouge Rogue, la star de la télé-réalité s’est aventurée dans le domaine de la beauté en créant sa propre marque : “Snam Cosmetics”. Son slogan prometteur ? « Hydrater, parfumer, illuminer toutes les beautés ». Mais pas de succès sans controverse… À peine les premiers produits dévoilés sur Instagram, Maeva fait déjà face à une vague d’accusations.
De nombreux internautes l’accusent de s’être largement inspirée de Poupette Kenza, autre influenceuse controversée. Et depuis, les critiques pleuvent : « Même idée, même packaging, même produit que Poupette, aucune réflexion personnelle », peut-on lire sur les réseaux sociaux. Certains vont même jusqu’à remercier ironiquement Poupette pour son « inspiration » : « Merci à Poupette ! » Le packaging et les produits semblent effectivement très similaires à ceux que Poupette Kenza aurait prévu de lancer avant ses déboires judiciaires. Coïncidence ou copie ? Difficile de trancher…
Son lancement en petite tenue ne passe pas inaperçu
Pour promouvoir ses nouvelles brumes parfumées, Maeva Ghennam a choisi une mise en scène pour le moins audacieuse. Sur une reprise du célèbre titre de Wham, Last Christmas, la jeune femme apparaît sur un lit rose, vêtue uniquement d’une serviette qui dévoile le haut de ses cuisses. Une ambiance glamour et sensuelle, qui n’a pas manqué de faire réagir. En quelques heures, les commentaires ont afflué sur les réseaux sociaux, et la polémique s’est installée. Certains internautes n’ont pas mâché leurs mots. Parmi les réactions les plus vives, on pouvait lire : « Je suis désolée, c’est juste un rappel, tu ne peux parler de religion, de pudeur, de foi, et être en serviette sur Instagram où tout le monde te regarde. Qu’Allah te guide sur le droit chemin. »
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D’autres ont dénoncé la mise en scène comme déplacée : « N’importe quoi cette mise en scène ! » ou encore « Indécent. » Ce n’est pas la première fois que Maeva Ghennam crée la controverse avec ses choix artistiques. Si certains admirent son audace et sa confiance en elle, d’autres s’interrogent sur les contradictions entre son discours public et ses actions. Quoi qu’il en soit, cette campagne promotionnelle ne laisse personne indifférent, et confirme une fois de plus que Maeva Ghennam sait comment faire parler d’elle.