Marianne James : elle se montre dans sa jeunesse, les internautes ne la reconnaissent pas

Marianne James, née Marianne Gandolfi à Montélimar le 18 février 1962, a montré très tôt un intérêt pour la musique. Elle a commencé sa formation musicale en jazz dès l’âge de onze ans sous la tutelle d’Antoine Petrucciani, père du renommé Michel Petrucciani. Après des études en musicologie à la Sorbonne et un premier prix de chant au Conservatoire national de Paris en 1980, elle a connu des débuts modestes en chantant dans le métro parisien.

Au-delà de ses talents musicaux, Marianne James se distingue également comme jurée dans La Nouvelle Star et La France a un incroyable talent. Nous vous dévoilions d’ailleurs auparavant les salaires du jury de l’émission. Animatrice accomplie, elle présente divers programmes sur Arte et France 2, et participe à la couverture de l’Eurovision, qui verra Slimane représenter la France lors de l’édition 2024.

Les confidences de Marianne James

Marianne James a toujours été ouverte sur sa décision de ne pas avoir d’enfants, un choix délibéré qu’elle a expliqué par son désir de liberté et par des considérations personnelles sur ce que serait une maternité idéale à ses yeux. Elle a également partagé son point de vue sur le droit à l’avortement, affirmant avoir personellement fait ce choix par le passé.

Elle exprime notamment sa frustration face aux débats politiques et religieux visant à restreindre ce droit, notamment aux États-Unis, et défend fermement la liberté des femmes à choisir tout en critiquant l’influence des dogmes religieux sur les décisions politiques affectant le débat sur l’avortement. Même si elle avoue être elle-même profondément croyante. Lors d’un entretien avec nos confrères de Voici, elle expliquait ainsi : « J’ai la foi, et pourtant, je l’assume ».

Une photo qui suscite l’étonnement

Marianne James a publié une photo d’elle datant de l’été 1980. Sur cette image, elle apparaît jeune et radicalement différente. À l’époque, elle était âgée de seulement 18 ans et faisait partie du trio musical Swingum. Elle se décrit avec humour comme une « longue tige bronzée frisée », se remémorant sa jeunesse avec une certaine nostalgie et une pointe d’autodérision. Durant cette période, Marianne James lutte contre des insécurités personnelles, se sentant mal dans sa peau malgré une silhouette qu’elle juge aujourd’hui avec plus de bienveillance.

Et dire que je me trouvais grosse à l’époque… Mais qu’est-ce que j’ai été c*nne !!

Elle révèle qu’à l’époque, elle ambitionnait de « manger le monde », bien qu’elle se soit souvent heurtée à certaines réalités amères. Marianne partage également les défis rencontrés lors de son arrivée à Paris pour poursuivre une carrière dans la musique lyrique et l’opéra, un milieu qu’elle décrit comme rétrograde et peu propice à son épanouissement personnel. Ce témoignage honnête et introspectif de l’artiste illustre le parcours complexe de celle qui est par la suite devenue l’une des personnalités préférées des Français.